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Une économie très ouverte sur l'extérieur



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Une économie très ouverte sur l'extérieur

L'économie du Canada est largement ouverte sur l'extérieur. Bien que cette caractéristique ne soit pas nouvelle, particulièrement vis-à-vis des États-Unis, plusieurs traités de libre-échange bilatéraux et multilatéraux l'ont accentuée. En janvier 1989, l'Accord de libre-échange Canada - États-Unis (A.L.E.) élargissait le cadre des échanges commerciaux entre les deux pays, visant la suppression progressive sur dix ans de la plupart des barrières tarifaires et la réduction d'autres barrières non tarifaires. Une innovation très importante de cet accord consista à mettre en place des procédés plus efficaces de règlement des litiges commerciaux entre les pays – ces procédés ont été repris dans d'autres accords ultérieurs sur le commerce. En 1994, l'A.L.E. a été intégré à l'Accord de libre-échange nord-américain (A.L.E.N.A.), auquel accédait également le Mexique. D'autres accords commerciaux bilatéraux ont été signés depuis lors : en 1997, avec Israël et le Chili ; en 2001, avec le Costa Rica. Au niveau multilatéral, le Canada est bien entendu signataire de l'accord de libéralisation des échanges qui mena, en 1995, à la création de l'Organisation mondiale du commerce (O.M.C.), qui a succédé au G.A.T.T. Comme il l'a montré lors du Sommet des Amériques qui s'est tenu à Québec en avril 2001, le Canada est aussi un acteur de premier plan dans la négociation entreprise pour la création de la Zone de libre-échange des Amériques (Z.L.E.A.). De plus, en tant que membre de l'Organisation de coopération économique Asie-Pacifique (A.P.E.C.), le Canada vise un libre-échange régional entre les pays membres développés pour 2010, que rejoindraient les pays membres à économie en développement en 2020. En juillet 2007 ont par ailleurs débuté les négociations d'un accord de libre-échange avec les pays membres du marché commun des Caraïbes (Caricom). Paradoxalement, malgré un tel niveau de libéralisation dans les relations avec l'extérieur, un assez grand nombre de barrières non tarifaires ont limité historiquement les échanges commerciaux et la mobilité de la main-d'œuvre entre les provinces canadiennes. L'Accord sur le commerce intérieur (A.C.I.) signé par les gouvernements provinciaux et le gouvernement fédéral en 1995 vise à régler ces problèmes.

L'importance du commerce extérieur dans l'économie canadienne est indéniable . Les exportations et les importations de biens et services représentent respectivement environ 35 % et 30 % du P.I.B. Les États-Unis sont la destination de près de 80 % des exportations du Canada et l'origine de 65 % environ de ses importations. La part des États-Unis dans le commerce canadien tend toutefois à décliner au profit des pays d'Asie (Chine et Corée notamment), du Mexique et de l'Europe. En tant qu'exportateur et importateur de marchandises, le Canada occupe le neuvième rang dans le commerce mondial de marchandises. Pour le commerce des services, il se situe au treizième rang des pays exportateurs et au dixième des pays importateurs. Riche en ressources naturelles et s'appuyant sur un grand espace géographique peu densément peuplé, le Canada exporte traditionnellement une grande quantité de matières premières minérales et énergétiques, beaucoup de produits agricoles et alimentaires, de bois, de pâtes et papiers, et importe des équipements et de l'outillage en grande quantité. Par ailleurs, un traité commercial établi en 1965 avec les États-Unis – le Pacte de l'automobile – a contribué à favoriser le commerce des produits automobiles et des pièces détachées entre les deux pays. Depuis la fin des années 1990, les expéditions d'équipements de télécommunications, de matériel électronique et d'aéronefs ont pris une part plus importante dans les exportations canadiennes, avec le développement d'acteurs majeurs dans le secteur des T.C.I. (Nortel, B.C.E. International). La crise traversée en 2001 par les valeurs technologiques sur les marchés boursiers mondiaux a ralenti de façon passagère l'expansion de ces secteurs.

Au cours des années 1990-2000, l'équilibre du commerce extérieur, tel que le révèle la balance des paiements, se caractérise par un solde généralement excédentaire de la balance commerciale des biens et services, en grande partie soutenue par la forte demande du marché américain ; l'excédent commercial réalisé vis-à-vis des États-Unis représentant 1,8 fois l'excédent de la balance commerciale totale du Canada.. En ce qui concerne l'intégration des marchés financiers, le Canada a connu l'une des plus longues expériences de marchés libéralisés des capitaux et de taux de change flottant (de 1950 à 1962 et depuis 1970) parmi les principaux pays industrialisés depuis la Seconde Guerre mondiale. Les investisseurs canadiens ont d'ailleurs potentiellement connu un accès illimité au marché américain des capitaux depuis le début des années 1950.

Cette forte intégration des marchés financiers pour une petite économie ouverte implique que les taux d'intérêt réels (différence entre les taux d'intérêt nominaux et le taux d'inflation) canadiens sont déterminés en grande partie par les taux d'intérêt réels mondiaux, voire américains. Cela n'a pas empêché, en revanche, l'existence de différentiels positifs importants et persistants entre les taux d'intérêt réels canadiens et américains de court et de long termes sur certaines périodes, comme de 1976 à 1998. Les écarts historiques – jusqu'à 6 % au début des années 1990 – ont coïncidé notamment avec la hausse importante de l'endettement des administrations publiques au Canada et se sont résorbés, alors que le taux d'endettement public a été contrôlé, puis a commencé à décliner.

Historiquement, la valeur du dollar canadien par rapport au dollar américain a beaucoup varié. De 1,048 dollar canadien pour 1 dollar américain en 1970, la monnaie canadienne a eu tendance à se déprécier jusqu'en 1986, pour atteindre une valeur de 1,390. Puis, elle s'apprécia jusqu'en 1991 à 1,146, se déprécia dans les années suivantes, atteignant même un plancher historique avec une valeur du taux de change de 1,584 5 en août 1998, alors que le cours des matières de base s'effondrait. Avec une reprise du cours de ces dernières, le dollar canadien se stabilisa et se raffermit un peu en 1999 et 2000. Depuis le début de 2001, le dollar canadien s'est à nouveau déprécié par rapport à la devise américaine..



Finances publiques, politique budgétaire et politique monétaire

En 2007, les recettes totales du gouvernement fédéral s'élevaient à environ 558 milliards de dollars canadiens. Environ 85 % de ce montant provenait des impôts. Les recettes totales des administrations provinciales-territoriales et locales s'établissaient respectivement à 316 milliards de dollars et à 107 milliards de dollars. Depuis la fin des années 1980, les dépenses des administrations publiques ont augmenté de façon régulière, mais à des taux différents. Les dépenses des administrations provinciales-territoriales et locales ont crû plus rapidement (à un rythme annuel de 4,5 % environ) que celles de l'administration fédérale (environ 3 % de progression annuelle moyenne). L'ensemble des dépenses des différentes administrations au Canada avait atteint un maximum en 1992, représentant plus de la moitié du P.I.B, dont une part non négligeable résultait des intérêts sur la dette publique (environ 5 % du P.I.B).

L'endettement des administrations publiques fédérale et provinciales avait généralement connu une tendance explosive, à partir du milieu des années 1970 pour le gouvernement fédéral et dès le début des années 1980 pour plusieurs gouvernements provinciaux. Avec ce dérèglement de la gestion de ses finances publiques, le Canada atteignit en 1996 la troisième place des pays avec les plus forts taux d'endettement public brut (120,9 % du P.I.B.) et net (88,5 % du P.I.B.), juste derrière la Belgique et l'Italie. L'endettement net résulte de la différence entre le passif total des gouvernements et la valeur de leurs actifs. Depuis 1998, des efforts importants de redressement ont été faits par le gouvernement fédéral et ses homologues provinciaux, efforts qui furent grandement facilités par la croissance économique. Ils leur ont permis d'afficher des excédents budgétaires et de réduire les taux d'endettement public. Cependant, même si l'administration fédérale a, au cours des années 2000, réussi à diminuer le déficit, le niveau d'endettement global demeure une préoccupation. La dette du gouvernement canadien s'établissait encore en 2004 à environ 523 milliards de dollars, soit plus de 40 % du P.I.B. total du Canada, impliquant des versements d'intérêt de l'ordre de 15 % du revenu annuel du gouvernement.

Par ailleurs, la situation de l'endettement public des administrations provinciales diffère beaucoup d'une province à l'autre. Par exemple, en 1999-2000, les administrations publiques de Terre-Neuve, de la Nouvelle-Écosse et de Québec avaient des taux d'endettement net supérieurs à 42 % de leurs P.I.B. respectifs, alors que les ratios correspondants étaient de 26,9 % pour l'ensemble des provinces et de 2,6 % pour l'Alberta.

Du point de vue de la fiscalité, les recettes courantes des administrations publiques (résultant des taxes, impôts, cotisations sociales, etc.) représentent près de 44 % du P.I.B. Lorsqu'on considère les variations dans la structure et les niveaux de taxation entre provinces, on voit que les citoyens de certaines provinces canadiennes sont parmi les plus taxés en Amérique du Nord, le Québec occupant la première place. À la fin des années 1990, le Canada venait au troisième rang des pays de l'O.C.D.E., avec les taux globaux de taxation sur les entreprises les plus élevés (environ 47 %) devant la Turquie (43 %), la France (42 %) et les États-Unis (39 %). Le fardeau fiscal pèse lourdement sur la compétitivité de l'économie et a des effets négatifs sur le niveau de vie des Canadiens. La prise en compte de cette situation a incité le gouvernement fédéral et plusieurs provinces, quoique de manière inégale, à réduire les impôts. Cette orientation budgétaire se heurte aux demandes de ressources financières supplémentaires, notamment dans le programme de santé publique.

Le taux moyen annuel de hausse de l'indice des prix à la consommation (I.P.C.) global a été de 5,0 % entre 1970 et 1973, 9,2 % entre 1973 et 1979, 6,5 % entre 1979 et 1989, puis stabilisé au-dessous de 3 % depuis le début des années 1990. Lorsqu'on exclut de l'I.P.C. des composantes dont les prix relatifs sont volatils, comme l'alimentation, l'énergie et les taxes indirectes, on remarque que l'inflation tendancielle a évolué parallèlement à la hausse de l'I.P.C. global, avec des niveaux parfois un peu plus faibles. Afin de poursuivre un objectif de maîtrise de l'inflation, la Banque du Canada et le gouvernement fédéral commencèrent en 1991 à fixer des fourchettes cibles de l'inflation. Elles furent graduellement réduites et sont établies depuis 1995 entre 1 % et 3 %. La Banque du Canada est une banque centrale relativement indépendante, particulièrement en ce qui concerne l'élaboration et la poursuite des opérations régulières de la politique monétaire. En pratique, par la gestion des encaisses de trésorerie du gouvernement fédéral et d'autres opérations, elle cherche à exercer une influence sur les taux d'intérêt de très court terme, de manière à imprimer à la masse monétaire une évolution compatible avec la fourchette cible d'inflation.

Alors que certains signes de pressions inflationnistes qui auraient pu amener le taux d'inflation vers la borne supérieure de la fourchette cible commençaient à se manifester vers la fin de 1999 et le début de 2000, la Banque du Canada résolut de resserrer sa politique monétaire. Cela se traduisit par une augmentation des taux d'intérêt d'un peu plus de 4,5 % à la mi-1999 jusqu'à environ 5,8 % du printemps 2000 jusqu'au début de 2001. La résorption des pressions inflationnistes et le ralentissement économique amorcé ont ensuite conduit la Banque du Canada, en parallèle à la Réserve fédérale américaine, à adopter une politique monétaire moins restrictive. Mais les tensions qui se sont fait jour sur les marchés de l'énergie et des matières premières en 2005-2006 ont amené la Banque centrale à interrompre cette détente monétaire, dans un contexte où elle jugeait l'économie canadienne proche de ses pleines capacités et le taux de chômage suffisamment faible pour ne pas souffrir de ce nouveau resserrement.

Marché du travail, disparités régionales, niveau de vie et redistribution des revenus

Le taux de chômage au Canada se situe à un niveau proche de 6 %. Avant qu’il ne se stabilise à ce niveau, le pays a longtemps connu un taux de chômage relativement élevé. Entre 1970 et 1989, il s'établissait en moyenne à 8,0 %, avec un maximum de 11,9 % en 1983. De 1990 à 2000, le Canada a affiché un taux de chômage moyen de 9,3 %. La décennie avait débuté avec des taux supérieurs à 10 % jusqu'en 1994, et supérieurs à 9 % jusqu'en 1997. Un autre indicateur pour mesurer le marché du travail est le taux d'emploi, qui correspond au pourcentage de la population de 15 à 64 ans qui occupe effectivement un emploi. Celui-ci était en moyenne de 65,7 % entre 1970 et 1999. À la fin des années 1990, le taux d'emploi s'est amélioré de façon notable pour atteindre 71,1 % en 2000 (soit la neuvième meilleure performance des pays de l'O.C.D.E., dont le taux moyen est de 65,7 %). En 2006 cependant, il redevenait inférieur à 64 % avec des écarts importants entre les provinces.

Le taux de chômage varie aussi beaucoup d'une province canadienne à l'autre. Alors qu'il était de 6,1 % en juin 2007 pour l'ensemble du Canada, le taux s'établissait entre 13,1 % et 6,8 % dans les provinces de l'Atlantique, il était de 6,9 % au Québec, de 4,4 % en Colombie-Britannique et se situait entre 3,8 % et 6,5 % dans les quatre autres provinces. Les causes de cette disparité sont multiples. La mobilité de la main-d'œuvre dans certaines régions est souvent limitée. L'absence de diversification de l'activité économique entraîne un manque chronique d'emplois ; de plus, certaines provinces sont affectées par des variations saisonnières importantes. La fiscalité peu compétitive et certaines dispositions du cadre réglementaire et législatif, qui réduisent aussi la flexibilité du marché du travail, ne facilitent pas la création d'emplois. Cela étant, hormis la province de Terre-Neuve-et-Labrador, la situation de l'emploi s'est grandement améliorée depuis le début des années 2000 partout dans le pays.

Une autre dimension importante pour mesurer la performance économique d'un pays consiste à évaluer et comparer son niveau de vie (ou P.I.B. réel par habitant). De 1980 à 1996, période au cours de laquelle le Canada a connu des déficits budgétaires constants et considérables, le pays se classait à l'avant-dernier rang des pays du G7 et au 22e rang des pays de l'O.C.D.E., au chapitre de la croissance du P.I.B. réel par habitant. La fin des années 1990 a ensuite marqué un important revirement, le P.I.B. réel par habitant ayant progressé plus vite au Canada que dans les autres pays du G7. De 1997 à 2001, le P.I.B. réel par habitant a augmenté en moyenne de 3 % par année, résultat semblable à celui observé au cours des années 1960 et 1970. Le Canada est ainsi passé de la 22e à la 9e place au classement de l'O.C.D.E. Bien qu'il demeure important, l'écart du niveau de vie avec les États-Unis s'est rétréci. Après s'être creusé dans les années 1980 jusqu'à atteindre un sommet de près de 19 % en 1997, il est redescendu aux environs de 15 % au début des années 2000. Cette amélioration s'explique en grande partie par la forte croissance de l'emploi et par celle de la productivité du travail. L'un des principaux défis du Canada est de poursuivre la réduction de cet écart de niveau de vie entre Canadiens et Américains. Cependant, la croissance du taux d'emploi ne pourra plus guère constituer un levier pour la croissance du niveau de vie des canadiens. Plusieurs raisons à cela : d'une part, l'amélioration de l'emploi a été telle que les marges de progression supplémentaires sont désormais réduites. D'autre part, le taux d'activité se situe à un niveau (plus de 67 % en 2007) proche de ses sommets historiques, or la croissance de la population d'âge actif (de 15 à 64 ans) poursuit son ralentissement avec l'arrivée à l'âge de la retraite de la génération du « baby-boom ». C'est donc essentiellement sur l'accroissement de la productivité que va pouvoir reposer l'amélioration du niveau de vie. Celle-ci dépendra tout entière de la capacité des entreprises canadiennes à accroître leur productivité et de celle du gouvernement à favoriser leurs efforts au moyen de politiques économique et fiscale mais aussi sociales (éducation, santé...) adaptées, et d'un soutien appuyé à l'innovation et à la recherche.

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