The environment in the news friday, 30 December 2005



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THE ENVIRONMENT IN THE NEWS

Friday, 30 December 2005



UNEP and the Executive Director in the News


  • Dés le premier jour de l'an 2006 : L'Afrique subsaharienne passe à l'essence sans plomb (Walfadjri)

  • L’Afrique roule sans plomb (Afrik.com)




  • Turin 2006: Focus; The Olympics Have 'Green Fingers' (Ansa)




  • Mermaid may soon become a myth (The Nation)

  • GEF helps China protect wetland (Xinhua)

  • Socially Responsible Property Investment Still on the Drafting Table (Social Funds.com)




  • Wowereit formuliert Zielmarke für SPD (Kölner Stadt-Anzeiger)




Other Environment News


  • Les assurances dressent le bilan d'une année marquée par les catastrophes naturelles (Le Monde)

  • Crean australianos nueva fuente de energía para ir al espacio (El Universal)

  • His Car Smelling Like French Fries, Willie Nelson Sells Biodiesel (New York Times)

  • New dawn for the delta? (San Francisco Chronicle)

  • Top 10 green energy schemes named (BBC)

  • Mount St. Helens still oozing lava (Associated Press)



Environmental News from the UNEP Regions
there are no media updates from the regional offices for today
Other UN News


  • UN Daily News of 29 December 2005

  • no spokesman's briefing was available


Walfadjri (Senegal): Dés le premier jour de l'an 2006 : L'Afrique subsaharienne passe à l'essence sans plomb


29.12.2005

En 2002, un seul pays, le Soudan, sur les 49 que compte l'Afrique subsaharienne, utilisait l'essence sans plomb. Mais, au 1er janvier prochain, tous les autres pays noirs d'Afrique devraient avoir supprimé l'essence avec plomb.

Au 1er janvier 2006, les véhicules circulant dans toute l'Afrique subsaharienne seront alimentés par de l'essence sans plomb, conformément à la promesse de supprimer l'essence avec plomb qui avait été faite à l'occasion du Sommet mondial sur le développement durable (Smdd), qui s'était tenu en 2002. Ces engagements visaient à promouvoir des conditions de vie plus saines pour des millions de personnes dans la région, a annoncé le Programme des Nations-unies pour l'environnement (Pnue).

Le plomb, un métal lourd, serait à l'origine d'un grand nombre d'affections et de problèmes de santé, notamment de dégâts cérébraux chez les bébés et les jeunes enfants. Son utilisation a déjà été supprimée dans de nombreuses parties du monde, en particulier en Amérique du Nord et en Europe, mais il y a tout juste quelques années, de nombreux pays de l'Afrique subsaharienne utilisaient encore de l'essence avec plomb. Commentant la marche vers la réalisation de l'objectif en Afrique subsaharienne, Klaus Toepfer, directeur exécutif du Pnue, a affirmé : "Il s'agit-là d'une véritable réussite écologique et sanitaire et je rends hommage à tous ces gouvernements, sociétés et autres, comme la Banque mondiale, qui ont contribué à la matérialisation de la promesse qui avait été faite au Smdd. Nous devons aussi travailler pour lutter contre les autres produits polluants, promouvoir des carburants alternatifs tels que les biocarburants et l'hydrogène, à côté des véhicules plus efficaces et moins polluants ainsi que des réseaux et systèmes de transport sans danger pour l'environnement et les populations. Cela doit se faire pas seulement dans les pays développés, mais pour tous les habitants du globe", a-t-il ajouté.

Le Pnue, qui a son siège au Kenya, a affirmé mardi, dans un communiqué, qu'en 2002, un seul pays (Soudan), sur les 49 de l'Afrique subsaharienne, utilisait l'essence sans plomb. "Avec la décision de l'Afrique du Sud de passer à l'essence sans plomb le 1er janvier 2006, c'est toute l'Afrique subsaharienne qui sera dorénavant alimentée par ce produit", a-t-il ajouté.

Au début de l'année 2006, il sera lancé une campagne mondiale pour la suppression de l'essence avec plomb dans le reste du monde en développement et dans les économies en transition, dans le but d'éliminer totalement l'essence avec plomb dans le monde d'ici 2008. La campagne sera appuyée par des séminaires et des campagnes de sensibilisation visant, dans un premier temps, le Moyen-Orient, les quelques pays de l'Afrique du Nord encore récalcitrants et l'Asie occidentale, a noté l'agence onusienne, tout en relevant qu'à l'heure actuelle, plus de 30 pays du monde continuent d'utiliser l'essence avec plomb. "Certains des principaux problèmes sont ceux qui se posent dans les petites îles lointaines et isolées du Pacifique, notamment en Micronésie", a affirmé le Pnue. "D'autres pays n'envisagent toujours pas de supprimer le plomb dans l'essence", en particulier l'Afghanistan, l'Algérie, le Bhutan, le Cambodge, Cuba, l'Irak, le Laos, la Mongolie, le Myanmar, la Corée du Nord, le Tadjikistan, le Turkménistan et l'Ouzbékistan.

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Afrik.com: L’Afrique roule sans plomb
Au 1er janvier 2006, les pays sub-sahariens auront tous renoncé à l’essence au plomb
par Habibou Bangré
28.12.2005



Il n’y aura plus d’essence au plomb en Afrique sub-saharienne à partir du 1er janvier 2006. Les Etats du continent n’utiliseront en effet plus que du sans plomb, conformément aux engagements pris en 2001 à Dakar et à Johannesbourg en 2002,. Un processus indispensable, et inévitable, tant au niveau sanitaire qu’économique. Explications de Sékou Touré, Directeur du bureau régional pour l’Afrique du Programme des Nations Unies pour l’environnement.

Finie l’essence au plomb ! Au premier janvier 2006, les pays d’Afrique sub-saharienne oublieront définitivement ce carburant nocif tant pour leur santé que pour leur économie. L’aboutissement d’une initiative impulsée par la Déclaration de Dakar (Sénégal) de juin 2001. Initiative renforcée en 2002 par le Sommet mondial sur le développement durable de Johannesbourg (Afrique du Sud), lors duquel est né le Partenariat pour les carburants et les voitures propres. Sékou Touré, Directeur du bureau régional pour l’Afrique du Programme des Nations Unies pour l’environnement, fait un bilan de la reconversion africaine et de ses enjeux.



Afrik.com : Quel bilan faites-vous de l’abandon de l’essence au plomb en Afrique sub-saharienne ?
Sékou Touré : Les choses sont plus difficiles pour la Somalie, en particulier, à cause des problèmes politiques. Mais les ministres de l’Environnement des autres pays africains s’étaient engagés à éliminer l’usage du plomb dans l’essence et ils ont pratiquement tous pris des réglementations pour le faire. Le bilan est donc globalement positif.

Afrik.com : Comment expliquez-vous le succès de cette initiative ?
Sékou Touré : Les gens n’ont pas le choix. Le plomb, à la différence d’autres métaux qui sont nutritifs (comme le fer, ndlr), n’a que des aspects toxiques. A toutes les concentrations, il a des conséquences néfastes sur le système immunitaire et cause des maladies, comme les problèmes respiratoires et le ralentissement de la croissance chez les enfants. C’est vraiment dommage, d’autant plus que nous n’avons pas besoin du plomb, notamment dans le carburant. Car le plomb est juste un additif qui sert à donner plus de puissance au véhicule lors du démarrage. Il faut donc trouver un substitut. Le problème est que jusqu’ici tous ceux qui ont été utilisés causent un problème. Par ailleurs, l’Europe, les Etats-Unis et l’Amérique latine n’utilisent et ne fabriquent plus d’essence au plomb. Du coup, sur le marché international, l’essence au plomb devient plus chère que celle qui n’en contient pas. Alors pourquoi continuer à payer plus cher ? Si cette transformation a un aspect sanitaire évident, elle a aussi une dimension économique.

Afrik.com : Y a-t-il de bons élèves ?
Sékou Touré : (rires) Tout le monde est bon élève ! Certains disent que le changement prendra six ou huit mois, mais la décision est prise. Pour le Rwanda ou le Burkina Faso, qui ne produisent pas de pétrole et n’ont pas de raffineries, c’est facile : ils ont juste à importer de l’essence sans plomb. Mais pour le Congo, la Côte d’Ivoire et le Kenya, qui ont des raffineries et des installations qui datent, la décision est plus difficile à appliquer. Cela demande notamment de petits investissements. Mais le Kenya, qui a, par exemple, une vieille raffinerie, a pris la décision de ne plus fabriquer d’essence au plomb pour ne produire que du sans plomb.

Afrik.com : La décision du Kenya est d’autant plus importante qu’il exporte son carburant chez ses voisins...
Sékou Touré : Certains pays d’Afrique de l’Est s’approvisionnent dans la raffinerie de Mombasa. S’ils ont des accords avec le Kenya pour l’importation, ils peuvent donc se retrouver coincés à utiliser de l’essence au plomb si la raffinerie ne se reconvertit pas. Mais tout le monde a maintenant conscience de ça et les pays vont se ravitailler sur les marchés.

Afrik.com : Certains attribuent la pénurie d’essence qui frappe actuellement l’Afrique du Sud au fait que les raffineries ont dû fermer pour permettre la reconversion. Qu’en pensez-vous ?
Sékou Touré : Je ne partage pas du tout cette opinion. Je fais une analyse très simple. Tout le monde peut s’approvisionner en carburant. S’il y a un problème de production dans les raffineries, il y a toujours la possibilité d’importer. Le temps que demande une reconversion dépend des installations, mais si ça doit prendre six mois il faut soit faire importer le temps que les travaux soient terminés ou faire du stock avant de les commencer. Il faut établir un programme d’activité en conséquence des besoins. C’est une question technique très simple.

Afrik.com : Financez-vous la reconversion des raffineries ?
Sékou Touré : Nous ne donnons pas de fonds, ce n’est pas notre rôle. Ce sont les gouvernements eux-mêmes qui investissent. Nous leur disons que s’ils ne changent pas leur technologie maintenant elle sera obsolète d’ici quelques années et qu’il vaut mieux s’adapter tout de suite pour éviter les licenciements. Les gouvernements ont des experts qui comprennent bien qu’ils n’ont pas le choix et que tout ça, c’est dans leur intérêt.

Afrik.com : La reconversion de raffineries a-t-elle fait des chômeurs ?
Sékou Touré : Nous ne connaissons pas de cas de chômage. Si les raffineries ferment, c’est pour d’autres raisons.

Afrik.com : Y a-t-il un risque pour les véhicules de passer d’une essence au plomb à une autre sans ?
Sékou Touré : Certains se demandent si le changement ne va pas endommager leur moteur. Mais nous ne connaissons aucun cas de ce genre. Si on utilise pendant dix ans une essence avec du plomb et qu’on change du jour au lendemain, il n’y a aucun impact. Ce qui peut endommager une voiture, en revanche, c’est l’utilisation d’essence au plomb dans un véhicule qui a un pot catalytique. Les dommages peuvent entraîner des coûts importants. Le fait que toutes nouvelles voitures ont maintenant des pots de ce genre est une raison de plus pour abandonner l’essence au plomb.

Afrik.com : Est-ce que certains pays se tournent vers des essences à base de plantes pour palier la disparition de l’essence au plomb ?
Sékou Touré : En Afrique du Sud, à Madagascar et à l’Ile Maurice, on commence à développer des biocarburants. Je ne vous cache pas que c’est un marché d’avenir et que nous encourageons les pays africains à créer des biocarburants. Comme ils sont majoritairement agricoles, cela développera leur économie.

Afrik.com : Quel rôle joue le Partenariat pour les carburants et les voitures propres dans l’abandon de l’essence au plomb ?
Sékou Touré : Ce partenariat est vraiment très important. Nous l’avons mis en place avec les gouvernements, la Banque mondiale et les compagnies pétrolières dans le but de combattre l’utilisation du plomb dans l’essence et de rendre les carburants plus propres. Notre prochaine étape est de nous attaquer à la présence de souffre dans le carburant.

Afrik.com : Quel problème pose l’utilisation du soufre ?
Sékou Touré : L’oxyde de soufre contribue au changement climatique et provoque notamment les pluies acides. Pratiquement tout le monde en a dans son carburant car cela fait partie de la composition du pétrole. L’idée est de réduire sa présence à un taux acceptable. C’est une étape à accomplir au niveau du processus de raffinage pour, qu’une fois rejeté dans l’air, la concentration de soufre soit normale.

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Ansa: Turin 2006: Focus; The Olympics Have 'Green Fingers'

''The Turin 2006 Olympics have set an extraordinary precedent of good environmental policies,'' explained Toroc President Valentino Castellani at the presentation of the Olympics' sustainability programme to a group of foreign journalists. ''We are the first organizing committee to have built the facilities as part of a strategic environmental assessment, the first to have taken the trouble of obtaining the Iso 14001 certification and the first to have launched a close collaboration with the UNEP, the United Nations environment agency.'' The protocol for the efficient use of natural resources and the compensation of the environmental impact of the facilities dates back to 2003. ''Some Olympic sports, like the bobsleigh and the ski jump, are not environmentally friendly because they take place at large facilities,'' said UNEP's Eric Falt. ''But what you can do is reduce their environmental impact, and Toroc has done this very well, showing great attention for the land at all levels. I don't know if they can be considered the best Olympics from this point of view, but they have certainly been prepared in the best of ways.'' Falt praised, for example, the policies adopted for the waste produced at the competition sites and the reduction of carbon dioxide emissions. ''The latter of these is an extraordinary innovation, which can give a lesson to upcoming sporting events.'' This will start with the soccer World Cup, which will take place in Germany soon after the Winter Olympics.

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The Nation (Nairobi): Mermaid may soon become a myth
Story by Ken Opala
29.12.2005

Two months ago, local fishermen and nature conservationists recovered two bodies of mermaids at the Kipini Coast, Tana River District. The marine herbivores may have been killed by fishermen interested in meat, according to the Kenya Wildlife Service special warden, Mr Bardale Tapata. 

Yet, as much as the discovery raised optimism of the existence of the legendary sea herbivore once perceived extinct along the 1,400-km long Kenya-Tanzania coastline, it nonetheless spawned questions about the survival of this species, with recent studies indicating that the mermaid is the most threatened mammal–more endangered than even the elephant and the rhino.

"Statistics indicate we have less than 20 dugongs between Kiunga and Vanga in the south coast; a stretch of about 500 km," says Raphael Omondi, of the East African Wild Life Society (EAWLS). 

About ten years ago, hundreds of dugongs coasted this region. For instance, in 1996, a herd of 80 dugongs were sighted in the Manda Bay, Lamu. About 20 years earlier, a 500-strong population had been seen at the Kenyan coast. 

Mermaid, whose real name is dugong, exists in the shallow seas, in the western Indian Ocean, Australia and the Red Sea. According to legend, they carry certain mannerisms (motherly love for off-springs) and even features - such as the breast – that resemble those of human beings. Thus, the female of a dugong (sometime called sea cow) is proverbial for maternal solicitude, thus the source of the mermaid legend. 

It is believed that mermaids cry like a woman or baby when caught and or being killed, its skin has hairs similar to those of human beings; the female is said to menstruate, even as it has an unfathomable care for the offspring. During feeding, it uses its flippers to embrace the young, tucking it to its breast, the way a mother cuddles a young one.

In fact, there’s a legend that two human beings, a brother and a sister had an incestuous relationship. God became angry and as a punishment replaced their legs with fish tails and banished them to the sea where they remain to this day as dugongs.

They live up to 70 years, grow up to 7 feet long and weigh about 400 kilos in maturity. The mermaid gives birth at the interval of between 2.5 and 5 years, one calf at a time, with a gestation period of up to 14 months. 

Even with the recovery of the carcass at the Kenya coast, conservationists warn that the Dugongs are highly threatened. Recent conservation studies indicate that this sea herbivore– whose meat oil and bones are in high demand for their nutrition, and spiritual, medicinal and aphrodisiac value – is in the throes of death.

The organisations now call urgent measures to rescue the species. They warn that the dugong faces a double-danger: It is an accidental victim of fishermen, just as it is a casualty of a wreaked environment. 

First, its fodder, the sea grass – a flowering plant whose root is embedded in sediment, and which form dense beds in shallow waters – has been disappearing owing to water pollution, trawling and other human activities along the coast. Second, the animals have been trapped by trawlers and rudimentary gill nets used by fishermen.

In some instances, the dugongs are hunted for their meat, oil (an alternative to cod liver oil), bones (for treatment of arthritis, labour pains, tonsillitis and protection against evil spirits, and aphrodisiac values, and meat (said to be very nutritious, more than pork).

As at now, there’s little evidence about its status. It was until the two carcasses were recovered in Kipini and Kiunga coastline that conservationists discovered the dugong was hardly extinct in the along the east African coastline as earlier thought.

According to Mr Hadley Becha, the EAWLS deputy director, the two carcasses were recovered in a span of a month, between August and September this year.

In view of their small and discrete populations, the dugong is now believed to be the most endangered large mammal in (Western Indian Ocean) region, says a joint UNEP/WWF report.

Yet the statistics may downplay the problem. To date, research conservation activities have tended to operate in isolation and a regional-scale assessment has never been undertaken, according to the 68-page report. Current information from qualitative and quantitative surveys shows that dugongs are present in small numbers in Kenya, Tanzania, Mozambique, Madagascar, Seychelles and Comoros archipelago.

The dugong, elephant and rhino rank top among a listing of endangered mammals international convention on trade in endangered fauna and flora –CITES.

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Xinhua: GEF helps China protect wetland
29.12.2005

The Global Environment Facility ( GEF) launched the second phase of a wetland protection program in central China's Dongting Lake area on December 29, continuing its efforts in maintaining the region's biological diversification and sustainable development.

GEF initiated the campaign in July 2000 in the East Dongting Lake National Nature Reserve of Hunan Province, injecting nearly 11.7 million U.S. dollars in aid, according to the administration of the nature reserve, which is among the 21 wetlands nature reserves of international importance designated by the Chinese government.

The first stage of the program was engaged in building up the capacity of the nature reserve while the second phase will focus on improving information-sharing among governmental departments, advertising and education on wetland protection, making relative laws and regulations, and promoting the experiences of the program.

Ed Moon, a GEF biologist, said a key task now is to monitor some selected species in the area and share the results with Chinese departments involved.

In addition to the Dongting Lake, the expert noted that GEF also works on the Sanjiang Plain in Heilongjiang Province, the beach area of Yancheng City in Jiangsu Province, and a swamp between Sichuan and Gansu provinces.

The GEF is an independent multilateral financial mechanism that assists developing countries to protect the global environment in four areas: biodiversity, climate change, international waters and ozone layer depletion.

It is jointly implemented by the United Nations Development Program, the United Nations Environment Program, and the World Bank.


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Social Funds.com: Socially Responsible Property Investment Still on the Drafting Table
by William Baue

29.12.2005

A blueprint of the fledgling field of socially responsible real estate investment.

SocialFunds.com -- Socially responsible property investment (SRPI), which has established a foothold abroad with the Commonwealth Property Office Fund in Australia and the Morley Igloo Urban Regeneration Fund in the UK for example, has yet to gain traction in the US. However, indications abound that this sub-field of socially responsible investing (SRI) may soon produce investable products.

Gary Pivo, a professor of urban planning and natural resources at the University of Arizona, is acting as one of the architects helping to draft this new discipline in the US. He has published a research paper on SRPI in the Fall 2005 issue of the journal Real Estate Issues, and another paper this year in the International Real Estate Review. The latter paper, co-authored with Paul McNamara of Prudential Property Investment Managers, is based on their work in helping create the Principles for Responsible Investment and the Responsible Property Investment Working Group of the United Nations Environment Programme Finance Initiative (UNEP FI).

The former paper surveys the current landscape of SRPI, mapping five possible future paths. First is the launching of publicly-traded Real Estate Investment Trusts (REITs--which pool property investments similar to the way mutual funds pool securities), and second is to invest in publicly-traded real estate companies focused on sustainability. Third is private SRPI funds for institutional investors, fourth is an SRPI "fund of funds" that invests in multiple private funds as a way of making SRPI accessible to individual investors. And fifth is socially screened real estate mutual funds comprised of REITs or real estate stocks.

Also possible is the application of SRI screens to existing investments to see if they would meet SRPI criteria. Determining what such criteria would be, however, is complex. Prof. Pivo points out that SRI screens such as those applied by Sustainable Asset Management (SAM) Research for inclusion in the Dow Jones Sustainability Indexes (DJSI) typically assess company-wide social and environmental performance. However, existing assessments of real estate such as US Green Building Council (USGBC) Leadership in Energy and Environmental Design (LEED) and Environmental Protection Agency (EPA) Energy Star programs certify individual properties.

"The LEED and Energy Star programs may already have created an expectation among SRI investors that in real estate, social and environmental issues should be evaluated at and aggregated up from the property level," Prof. Pivo writes in the Real Estate Issues paper.

Also at issue is the actual criteria for determining best practice on social and environmental issues.

"Is high rise better than low rise?" asks Prof. Pivo. "Is housing better than shopping?"

"Is mixed use better than single use?" he continues. "Is new urbanism better than shopping malls?"

The paper ends with five recommendations, starting with the identification of where SRI and real estate investment currently overlap.

"The University of Arizona and the Boston College Institute for Responsible Investing are planning a meeting to bring together leaders from the real estate and the SRI industries to talk about current investment opportunities, new product development, and metrics for reporting on the social and environmental characteristics of real estate investments," Prof. Pivo told SocialFunds.com.

The SRI community has already started taking its first steps toward SRPI. The September 2005 SRI in the Rockies conference included a session entitled "Is There a Green Real Estate Investment Trust In Our Future?" with a presentation by Prof. Pivo. It also included a presentation by Leanne Tobias of Malachite LLC, which focuses on green or sustainable real estate, and another by Richard Imperiale of the Forward Funds Uniplan Real Estate Investment Fund (ticker: FFREX), which applies SRI criteria.

"Three dozen people at the meeting signed up to follow up on the topic," said Prof. Pivo. "Discussions are ongoing by people who were there on at least two new investment products: a green REIT and a land conservation fund for ranches and other working landscapes."

Discussion is also ongoing on the newly-established responsible property investment listserve hosted at the University of Arizona.

"Since being launched in November, it has grown to 130 members from eight countries," said Prof. Pivo. "One of the most interesting threads so far was on green mortgages."

The closest thing to a green mortgage currently is the energy-efficient mortgages offered by Fannie Mae (FNM), according to one listserve participant. Another cautioned the green mortgages could prove counterproductive by increasing loan amounts to fund bigger houses that may not end up reducing overall energy consumption.

Prof. Pivo also hopes to fuel the socially responsible property investment market as a participant and not just an academic as a founding partner in a new property investment firm. SRI investors may soon have options to fill this current void in their portfolios.

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Kölner Stadt-Anzeiger:Wowereit formuliert Zielmarke für SPD

29.12.05

Berlin - Berlins Regierender Bürgermeister Klaus Wowereit (SPD) will bei der Abgeordnetenhauswahlen am 17. September 2006 "30 Prozent plus x" für seine Partei erreichen. "Es ist klar, dass die SPD wieder die stärkste Kraft werden muss und den Regierungsauftrag bekommt", sagte Wowereit in einem dpa-Gespräch. Das Ergebnis von 2001 - 29,7 Prozent - müsse gehalten und möglichst gesteigert werden. "Am liebsten wäre uns die absolute Mehrheit, das scheint aber sehr weit entfernt zu sein. Deshalb braucht die SPD einen Koalitionspartner." Dafür kämen sowohl der derzeitige Regierungspartner Linkspartei als auch die Grünen in Frage.

"Es ist immer gut, in Koalitionsverhandlungen Optionen zu haben", umriss Wowereit seine Position. "Mit der Linkspartei haben wir in dieser Legislaturperiode gut zusammengearbeitet. Ich gehe davon aus, dass diese Zusammenarbeit fortgesetzt werden könnte. Aber es gibt auch die Möglichkeit, mit den Grünen zu koalieren, wenn es rechnerisch reicht." Auf einen "Lieblingskoalitionspartner" wollte sich der Regierungschef, der wieder als Spitzenkandidat für die SPD antritt, nicht festlegen. "Über die Konstellation wird der Wähler entscheiden."

Sein recht bescheiden formuliertes Wahlziel beruht nach den Worten Wowereits auf der schwierigen Ausgangssituation in Berlin. Mit der starken PDS (2001: 22,6 Prozent) und den relativ starken Grünen (2001: 9,1 Prozent) "sind schon mal 30 Prozent links von der Mitte weg, bevor wir überhaupt angefangen haben". Da man nicht davon ausgehen könne, dass sich Linkspartei oder Grüne selbst marginalisierten, sei es für die SPD schwer, mehr als 30 Prozent zu erreichen. Außerdem sei alles relativ. "Für die SPD in Bayern wären 29,7 Prozent sehr gut".

Die Hauptstadt-CDU sieht Wowereit als keinen Ernst zu nehmenden Gegner. "Das ist ja ein Trauerspiel, was die CDU anstellt, um die Frage des Spitzenkandidaten zu entscheiden. Eine schlimmere Bankrotterklärung, als einzugestehen, dass man aus dem Berliner CDU-Personal nicht einen hat, der Spitzenkandidat sein könnte, kann es doch nicht geben." Deshalb sei die Schlussfolgerung der CDU, sich seinen Herausforderer von außen zu holen, richtig. "Die Berliner CDU braucht dringend Hilfe."

Auch einen potenziellen Gegenkandidaten Klaus Töpfer fürchte er nicht, sagte Wowereit. "Es ist wie beim Fußball: Wenn man Weltmeister werden will, dann muss man jeden Gegner schlagen." Im Wahlkampf sei das nicht anders. "Wer stärkste Partei werden will, muss jede andere Partei davon abhalten, es selber zu werden."

Für ausgeschlossen hält der SPD-Politiker, dass unter einem möglichen CDU-Spitzenkandidaten Töpfer das erste schwarz-grüne Bündnis in Berlin zu Stande kommt. "Ich kann mir nicht vorstellen, dass die Berliner Grünen mit dieser konservativen bis reaktionären CDU inhaltlich eine Zusammenarbeit zum Beispiel in der Innen- und Rechtspolitik eingehen könnten", sagte Wowereit. Zudem hätte Töpfer in der CDU gar keine Mehrheit für eine liberale Politik.
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