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WHITE HOUSE VOICES CONCERN ON CHINA CURRENCY BILL



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WHITE HOUSE VOICES CONCERN ON CHINA CURRENCY BILL (Reuters) - The White House on Wednesday voiced concern that legislation the U.S. Senate is expected to approve this week designed to press China to let its currency rise could violate international trade rules. While reiterating that it shared lawmakers' desire to ensure that U.S. workers and businesses face a level playing field when competing with China, the White House hardened its criticism of the legislation, which has drawn trade war warnings from Beijing. "We certainly ... have concerns about this particular legislation, and whether or not it would create consistency issues with our international obligations," White House press secretary Jay Carney told reporters. "We have, from the beginning as an administration, worked on the issue of the undervalued Chinese currency. And it has appreciated to some degree as a result, we think, of those efforts. More needs to be done," he said. Many economists say China holds down the value of its yuan currency to give its exporters an edge in global markets. China says it is committed to gradual currency reform and notes that the yuan has risen 30 percent against the dollar since 2005. The Democratic-controlled U.S. Senate on Thursday is expected to approve the controversial Currency Exchange Rate Oversight Reform Act of 2011.

FRANCE MUST RECOGNIZE KOSOVO BEFORE JOINING EU, SAYS NEW FRENCH MINISTER (AFP) - La Serbie ne pourra pas adhérer à l'Union européenne tant qu'elle n'aura pas fait la paix avec ses voisins, a déclaré mercredi le ministre des Affaires européennes Jean Leonetti, à la veille d'un déplacement en Croatie puis en Serbie. "Nous voudrions dire à nos amis serbes qu'ils ont vocation à rentrer dans l'Europe et que cette vocation n'est précédée d'aucun diktat. En revanche, il faut aussi passer le message qu'on ne pourra pas accepter dans l'Europe un pays qui est en conflit, qui n'a pas assumé sa réconciliation avec ses voisins", a déclaré le ministre devant la Commission des Affaires européennes de l'Assemblée nationale. La Serbie espérait obtenir un statut de candidat à l'UE à la fin de cette année mais fin août, le président Boris Tadic a évoqué la possibilité qu'elle n'y parvienne pas, en raison de la question du Kosovo. Des tensions persistent dans le nord du Kosovo où des violences fin septembre ont entraîné la suspension du dialogue entre Belgrade et Pristina sous les auspices de l'UE. Depuis mars, les Européens ont lancé un processus de négociations entre le Kosovo, qui a déclaré son indépendance de la Serbie en 2008, et Belgrade qui refuse de le reconnaître. Pour Jean Leonetti, il convient de "dire aux pays des Balkans qu'ils doivent avoir fait la paix avec leurs voisins pour pouvoir, à terme, pénétrer dans l'Union européenne". "Il faut jouer sur l'attractivité de l'entrée dans l'Europe pour aider ces pays dans la voie de la démocratie, de l'Etat de droit et les aider à apaiser leurs relations avec leurs voisins", a-t-il ajouté. Le ministre a estimé qu'en Croatie qui doit signer le traité d'adhésion à l'UE le 19 décembre, "c'est parce qu'il y a eu des perspectives européennes que des progrès ont été effectués". M. Léonetti ouvrira jeudi à Zagreb un séminaire régional sur la traite des êtres humains organisé par le pôle en charge de la lutte contre la criminalité organisée en Europe du Sud-Est de l'ambassade de France. Le ministre aura des entretiens avec le président croate, Ivo Josipovic, le vice-Premier ministre, Gordan Jandrokovic, et le secrétaire d'Etat à l'intégration européenne, Andrej Plenkovic. En Serbie, M. Leonetti rencontrera le président Tadic et le vice-Premier ministre en charge de l'Intégration européenne, Bozidar Djelic.

ARMS DEALER DENOUNCES ANOTHER VILLEPIN 'CONSPIRACY' AGAINST SARKOZY (AFP) - L'intermédiaire en armement Ziad Takieddine, entendu mercredi par le juge Renaud van Ruymbeke sur son intervention dans le contrat Sawari II avec l'Arabie Saoudite, a dénoncé sur Europe 1 "un complot" contre Nicolas Sarkozy et mis nommément en cause Dominique de Villepin. "Ce complot, il est contre le président de la République" et il serait ourdi par "les mêmes acteurs de Clearstream", a affirmé Ziad Takieddine, mis en examen depuis septembre. "Celui qui doit répondre de ses actes sur l'ensemble du dossier depuis 1996, il s'appelle Dominique de Villepin", a-t-il poursuivi, sans apporter de preuves, qu'il dit vouloir réserver à la justice. "Je suis le premier qui va dénoncer ce complot et qui va le prouver point par point à l'opinion publique française", a affirmé Ziad Takieddine, que la justice soupçonne d'avoir versé des rétrocommissions dont les enquêteurs souhaitent établir si elles ont servi à financer la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995. Selon lui, les acteurs de ce complot, sont "les mêmes acteurs de Clearstream, mais cette fois-ci, (...) ils vont répondre d'actes beaucoup plus criminels". "Moi je nomme, je nomme aujourd'hui: celui qui doit répondre de ses actes sur l'ensemble du dossier depuis 1996 à aujourd'hui, il s'appelle Dominique de Villepin", selon Ziad Takieddine. "Et je la maintiens cette accusation sur la base d'éléments que j'ai." Interrogé sur ces éléments, il a répondu: "Je ne peux pas vous dire, je le dirai à la justice." Mais Dominique de Villepin "aura en face de lui quelqu'un qui aura les faits", a-t-il assuré, mystérieux, et l'ancien Premier ministre devra "répondre à la justice, pas en tant que poète comme il l'a fait aux Nations unies", il devra "répondre de ses vrais actes". Ziad Takieddine s'est une nouvelle fois défendu d'avoir versé des rétrocommissions, et d'avoir notamment donné de l'argent à Nicolas Bazire, l'ancien directeur de campagne d'Edouard Balladur, également mis en examen par Renaud van Ruymbeke: "Jamais, jamais." "Tout ce que je peux dire aujourd'hui, c'est que lorsque je raconte au juge ce que j'ai fait, avec tous les détails, j'ai le sentiment qu'il me croit", a affirmé l'homme d'affaires franco-libanais. "Je ne balance personne. Tout ce que je veux dire, c'est la vérité sur les faits. Pour dire la vérité, je dois être un homme crédible", a-t-il expliqué. "On m'a lynché pendant neuf mois sur des faits qui ne sont pas vrais. Et là je vais raconter la vérité. Et ça n'intéresse personne cette vérité, elle n'intéresse pas ceux qui sont les vrais acteurs de ce crime qui a été commis au Pakistan", l'attentat qui a coûté la vie à onze ouvriers français en mai 2002. Interrogé pour savoir s'il restait l'ami de Jean-François Copé, qui devait lui succéder dans le studio d'Europe 1, Ziad Takieddine a répondu par l'affirmative. "Ca fait plaisir de le revoir", a-t-il lâché.

VON TRIER FACING FRENCH CHARGES FOR HITLER RANT (AP) - Danish film director Lars von Trier says he's facing charges of violating a French law against justification of war crimes over statements he made about Adolf Hitler and Jews during the film festival in Cannes. Von Trier addressed the investigation in a brief statement Wednesday that he said would be his last, ever. "Due to these serious accusations I have realized that I do not possess the skills to express myself unequivocally and I have therefore decided from this day forth to refrain from all public statements and interviews," von Trier said. The director said he was questioned by police in North Zealand, Denmark, in connection with charges made by the prosecution of Grasse in France. Von Trier was ejected from the Cannes Film Festival in May after expressing sympathy for Hitler at a news conference for his film "Melancholia." In a rambling speech, the filmmaker spoke about his German heritage, saying his ancestry made him "sympathize with (Hitler) a little bit." He added that he supports Jews. The director said afterward he had been joking and later issued an apology. He later retracted the apology, telling GQ magazine that he wasn't sorry, but wished he had made clear that he was joking. Von Trier's comments ignited shock from the moment they spilled out of his mouth, causing Kirsten Dunst, an actress in his film "Melancholia," to lean over and whisper to von Trier, "Oh my God, this is terrible." "What can I say? I understand Hitler, but I think he did some wrong things, yes, absolutely. But I can see him sitting in his bunker in the end," von Trier said at the time. "He's not what you would call a good guy, but I understand much about him, and I sympathize with him a little bit. But come on, I'm not for the Second World War, and I'm not against Jews. ... "I am very much for Jews. No, not too much, because Israel is a pain in the ass."

OBAMA ADMINISTRATION URGES UNESCO MEMBERS TO BLOCK PALESTINIAN MEMBERSHIP (AFP) = Les Etats-Unis appellent tous les pays de l'Unesco à "voter non" à la recommandation du conseil exécutif de cette agence de l'ONU d'attribuer à la Palestine un statut de membre à part entière, a indiqué mercredi l'ambassadeur américain dans cette organisation. "Les Etats-Unis appellent toutes les délégations à se joindre aux Etats-Unis en votant +non+ à cette recommandation", déclare David Killion dans un communiqué publié sur le site web de la mission américaine à l'Unesco. Les Etats-Unis expriment leur "forte opposition à cette recommandation. Accorder aujourd'hui à la Palestine (le statut) de membre à part entière dans une agence spécialisée telle que l'Unesco est prématuré", dit-il. "Etant donné que le Conseil de sécurité de l'ONU examine la demande des Palestiniens (d'adhésion à l'ONU comme Etat membre à part entière, ndlr), nous pensons qu'il est inapproprié pour une agence spécialisée de l'ONU de se saisir du même dossier", poursuit-il. Le conseil exécutif de l'Unesco a approuvé mercredi à la majorité simple, par 40 voix sur 58, une recommandation d'attribuer à la Palestine un statut de membre à part entière. La recommandation, initiée par le groupe des pays arabes, va être soumise à la fin du mois à la Conférence générale de l'Unesco. Les Palestiniens n'ont jusqu'à présent qu'un statut d'observateur à l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, les sciences et la culture.

U.S. CONGRESS THREATENS TO CUT CONTRIBUTION TO UNESCO (AFP) - Une influente élue américaine a affirmé mercredi qu'elle allait s'employer à bloquer la contribution américaine à l'Unesco, en raison d'un projet visant à faire de la Palestine un membre à part entière de cette organisation. La représentante républicaine Kay Granger a diffusé un communiqué mercredi avant le vote d'une recommandation à l'Unesco pour attribuer le statut d'Etat membre à la Palestine, affirmant que l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, les sciences et la culture, risquait de perdre la contribution financière américaine. "Je vais m'employer à mettre fin au financement" de l'organisation culturelle par les Etats-Unis, a écrit Mme Granger, qui préside la commission de la Chambre des représentants chargée de répartir les fonds pour la politique étrangère américaine. Selon elle, ce nouveau développement "ne mettra pas seulement en danger notre relation avec les Palestiniens, cela mettra en danger nos contributions aux Nations unies". Mme Granger et d'autres élus américains des deux bords ont évoqué une possible remise en cause de l'aide des Etats-Unis à l'autorité palestinienne si ses dirigeants continuaient leurs démarches pour obtenir la reconnaissance de leur Etat à l'ONU, au moment où les négociations avec Israël sont dans l'impasse. La recommandation a été adoptée par 40 voix sur 58 à l'Unesco à Paris. Quatre pays ont voté contre, dont les Etats-Unis, et 14 se sont abstenus, dont la France et l'Espagne.

SPAIN TO VOTE FOR PALESTINIAN MEMBERSHIP TO UNESCO (AFP) - L'Espagne a annoncé mercredi qu'elle voterait "oui" à la recommandation du conseil exécutif de l'Unesco d'attribuer à la Palestine un statut de membre à part entière, alors que les Etats-Unis ont appelé tous les pays de cette agence des Nations unies à voter "non". Le gouvernement espagnol considère qu'il "serait opportun de retarder le vote" prévu lors de la Conférence générale de l'Unesco du 25 octobre au 10 novembre. "Dans tous les cas, le gouvernement anticipe qu'il votera en faveur de cette recommandation lors de la Conférence générale si le vote a lieu et qu'aucune position commune européenne n'est trouvée", affirme le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. Le conseil exécutif de l'Unesco a approuvé mercredi à la majorité simple, par 40 voix sur 58, une recommandation d'attribuer à la Palestine un statut de membre à part entière, initiée par le groupe des pays arabes. Selon le ministère espagnol des Affaires étrangères, il "n'a pas été possible" de trouver une position européenne commune et l'Allemagne, la Lettonie et la Roumanie ont voté contre. La Belgique, le Danemark, la Slovaquie, l'Espagne, la France, la Grèce, l'Italie et la Pologne se sont abstenus, ajoute-t-il. Pour que la Palestine obtienne un statut d'Etat membre à l'Unesco, la Conférence doit l'approuver par une majorité des deux tiers de ses 193 membres, lors de sa session qui se tiendra à Paris où siège l'organisation.

EU MOVES TOWARDS FURTHER SANCTIONS ON SYRIA, IRAN (Reuters) - The European Union is set next week to consider blacklisting the Syrian central bank as well as imposing sanctions against more Iranian individuals, according to sources on Wednesday familiar with the situation. A decision to impose sanctions on the Syrian central bank had been taken in principle, and would be presented to an EU foreign affairs committee on Monday, said a person familiar with the situation. A written procedure for adoption could then follow, possibly in a week or so, the source said. In addition the EU's foreign affairs council was likely on Monday to add 29 people to the list of 32 Iranians targeted by asset freezes and visa bans because of serious human rights violations, an EU official said.

OBAMA ADMINISTRATION HOPES TO KEEP TROOPS IN IRAQ (Reuters) - Iraqi lawmakers on Wednesday said they were discussing a deal to extend a NATO training mission that could allow U.S. troops to stay as trainers beyond the year-end deadline for withdrawal, with the type of legal protections demanded by Washington. Negotiations on keeping U.S. troops in Iraq to train its security forces have been complicated by questions over whether Iraqi Prime Minister Nuri al-Maliki's government will give U.S. troops immunities from prosecution in the country. The plans to keep a U.S. military presence eight years after the invasion that toppled Saddam Hussein have also met strong opposition from anti-U.S. cleric Moqtada al-Sadr, a key parliamentary ally of Maliki's coalition. Lawmakers said parliament was discussing a draft bill that could allow U.S. troops to operate with the NATO mission, allowing them to be under U.S. legal jurisdiction if they commit certain crimes on duty or on bases. "The option is on the table is that they work under NATO's agreement," Sami al-Askari, a senior lawmaker in Maliki's State of Law coalition, told Reuters. "Other options put forward are to rely on other countries to get trained, but the most practical option is to rely on NATO because they were already working in Iraq and have the experience needed by Iraqi forces," he said. The draft has only had one reading and will get a second reading soon before lawmakers debate and vote on it. Negotiations over a U.S. troop presence have dragged on for months, and Baghdad and Washington must still decide over how many troops will stay on, how long they will stay, and over the tricky issue of jurisdiction, which would afford American soldiers the kind of legal protections they have elsewhere.


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