The environment in the news wednesday April 6, 2011



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Guardian (UK): The good transition must be fair
5th April 2011
All change has its costs and casualties - we must protect the poor and the vulnerable in the transition to the green economy

Good transition needs to be carried out as fairly as possible. Photograph: Graphic

A good transition to a green economy doesn't only mean that the transition needs to be effective and reasonably fast. It also means it is carried out as fairly as possible, and that means protecting the positions of those who are used to being on the receiving end of change rather than helping create it.

All economic transitions have their costs and casualties. Technologies and patterns of demand and cost shift, and some people lose out. However it is characteristic of a society which aims to be fair that there is help for people to find a way through periods of change.

In putting in place the right policies for the good green transition, we therefore have to consider areas such as training and retraining, unemployment benefits, perhaps help with moving house, the sorts of things which make it easier for people to leave one job and shift to another in any form of economic transition.

Within an existing firm or workplace, transition is going to involve a change in people's jobs or in the details of how they are done. In this context, information about what is proposed, consultation, trade union representation, and avoiding an over-bureaucratic approach to management are important.

In Spain, unions, government and business established joint arrangements to negotiate about the economic challenges created by the shift to a lower-carbon economy. In France and parts of Germany, social dialogue has been used to develop plans to create thousands of new 'green jobs'. Trade unions in the UK and internationally have talked about trade union involvement in shaping 'A Just Transition'.

As many ecological issues are global in scale, similar questions to those trade unions have been familiar with for well over a century arise worldwide, because again on a world scale, economic change generally means winners and losers. Many in the global South see proposals to limit carbon emissions, for example, as essentially proposals to limit their economic development and living standards. Arrangements to raise environmental standards in products traded internationally can be seen as 'green protectionism', stopping poorer countries from using lower and cheaper standards as one of the advantages they have in price competition.

A just transition internationally can draw, however, on a wealth of ideas about fairness and redistribution which have been developed over recent decades.

For example in any system of equal per capita rights to carbon emissions, the richer countries would find themselves well over their allocations and the poorest countries well below. Therefore any system of paying for extra permits, or trading in permits, is going to redistribute wealth.

In most systems of payments for the services provided by ecosystems, most of the payments will go from richer countries, the ones making the most use of ecosystems, generally to tropical countries, which tend to be those with richer biodiversity and ecosystems, and also tend to be middle-income or poor.

Arrangements for company reporting, codes of conduct, accountability, etc, established largely for environmental reasons, create structures which can also be used for social, redistributive, and human rights purposes. This is one of the reasons, of course, why less responsible companies oppose such measures.

Similarly, the renegotiation of governance arrangements for the big economic institutions such as the World Bank, International Monetary Fund, and World Trade Organisation, in order to get an environmental input to their decision-making, perhaps by putting United Nations Environment Programme representatives on their governing bodies, can also be used to open up the question of the inequitable patterns of power in those institutions as regards countries at different income levels.

The advanced facilities and funding for research and development in rich countries can be used to benefit middle-income and poorer countries when innovations in technology are disseminated.

These are complex issues, of course, but the main point is clear: if the world economy is to shift and be redesigned, that process opens up many opportunities to make gains not only for environmental sustainability, but also for social justice.
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Actualit News (Fr): Energies renouvelables : Ban Ki-moon félicite les efforts du Kenya
5th April 2011
Alors que le pays se sert de l’énergie volcanique pour produire de l’électricité géothermale, le Secrétaire Général des Nations Unies Ban Ki-moon a félicité le Kenya pour les efforts faits en matière de production d’énergie renouvelable.

Le Secrétaire Général Ban Ki-moon a déclaré aujourd’hui qu’il était fasciné par la façon dont le Kenya exploitait la chaleur volcanique de la Vallée du Grand Rift pour produire de l’électricité, et a ajouté que ce pays d’Afrique de l’Est pourrait être sur la bonne voie pour devenir autosuffisant en production d’énergie renouvelable pour alimenter son « économie verte ».

 

« C’est une histoire remarquable –non seulement en termes d’énergie renouvelable et de changement climatique- mais également en termes de partenariats pour le développement » a déclaré Ban Ki-moon lorsqu’il a visité la Centrale Géothermale d’Olkaria près de la ville Kenyane de Naivasha.



  

Il a ajouté que la centrale nucléaire était un exemple de la façon dont les Nations Unies, la Banque Mondiale, les donnateurs et le secteur privé pouvaient soutenir des initiatives et des politiques publiques qui peuvent aider à réduire la pauvreté et à poser les fondations d’un avenir plus durable, d’après un communiqué de l’Organisation des Nations Unies.

  

« Au cours des derniers jours, j’ai appris beaucoup concernant le développement de grands fermes éoliennes dans l’Afrique sub-saharienne – un projet à Turkana (au nord du Kenya) qui générera plus de 300 mégawatts (d’électricité) » a indiqué Ban Ki-moon.



 

« La Vision 2030 du Kenya (un plan de développement économique) comprend également des projets de transformation des déchets en énergie, la co-production et les tarifs d’importation, et le travail en cours avec le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) et d’autres partenaires pour soutenir l’industrie du thé avec des petites centrales hydroélectriques » a ajouté le Secrétaire Général.

 

Il a ajouté que bien que le Kenya n’était pas riche en pétrole, en gaz naturel ou en réserves de charbon, le pays avait une richesse « en carburants propres » -par le biais de l’énergie géothermique, éolienne, solaire ou la biomasse. Le pays, selon lui pourrait générer 1200 mégawatts d’électricité d’ici 2018 en développant sa capacité géothermique.



 

Le défi est d’intégrer tous les composants émergeants d’une économie basée sur les énergies renouvelables dans un réseau efficace et moderne de distribution, a indiqué Ban Ki-moon.

 

Il a ajouté que le PNUE et le Global Environment Facility travaillaient ensemble avec le Gouvernement, les régulateurs et les compagnies électriques pour gérer la production d’électricité et les défis de distribution.



 

« Réalisé efficacement et de manière créative, cela peut aider à catalyser les énergies renouvelables non seulement au Kenyta mais dans le cadre du projet de Pool Electrique d’Afrique de l’Est. Comme le montrent le Kenya et plusieurs autres pays, il y a un panel de plus en plus important de choix économiquement viables pour la production d’énergie » a déclaré le Secrétaire Général.

 

Il a ajouté que la Conférence de l’année prochaine des Nations Unies sur le Développement Durable à Rio de Janeiro, au Brésil (Rio 2012) serait l’occasion d’étudier plus profondément la façon dont les économies peuvent être développées pour produire des emplois décents d’une « manière qui maintient l’empreinte humaine dans des frontières viables pour la planète ».


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Notre Planete (Fr): Le lien entre précipitations diluviennes et réchauffement climatique est établi
5th April 2011
Le réchauffement climatique a accru l'intensité des pluies diluviennes et des inondations dans l'hémisphère Nord au cours de la seconde moitié du 20e siècle, selon deux études récentes publiées par la revue Nature et établissant un lien direct entre le changement climatique et son impact sur des événements météorologiques extrêmes.

Jusque là, ce lien restait théorique, même si des modélisations numériques prédisaient que l'augmentation des gaz à effet de serre dans l'atmosphère aggraverait les épisodes de pluies diluviennes. Mais les données collectées en Europe, Asie et Amérique du Nord montrent, qu'en moyenne, les plus graves pics de précipitations ont eu une intensité accrue au cours de la dernière moitié du 20e siècle. Lorsqu'on compare ces pics annuels avec les simulations des modèles climatiques, l'influence humaine devient évidente, selon M. Zwiers. "Le changement observé ne peut pas s'expliquer par des fluctuations naturelles, internes du seul système climatique", dit-il. Mais malheureusement, les précipitations ne vont pas nécessairement augmenter dans les régions où les pluies sont faibles et certaines régions risquent, au contraire, de devenir plus sèches. En outre, les précipitations vont être plus violentes.

Pour mettre en lumière ce lien de causalité entre changement climatique et événements météorologiques extrêmes, Myles Allen (Université d'Oxford) et Pardeep Hall (ETH, Zurich) se sont servi de la puissance des réseaux sociaux pour réaliser la seconde étude portant sur l'impact du réchauffement climatique en Angleterre, où l'automne 2000 avait été marqué par des pluies diluviennes entraînant de graves dégâts. "Nous avons demandé à des membres du public dans le monde entier de laisser leur propre ordinateur personnel faire les simulations pour nous lorsqu'ils ne s'en servaient pas", relate-t-il. Le projet de calcul distribué climateprediction.net bénéficie actuellement de 50 000 à 60000 ordinateurs personnels.

Les chercheurs ont pu comparer deux modèles numériques, l'un basé sur des données météorologiques historiques détaillées, l'autre sur une simulation de ce qu'il se serait passé à l'automne 2000 en Angleterre si des gaz à effet de serre n'avaient pas été émis au 20e siècle. Après avoir répété la simulation des milliers de fois, ils ont pu montrer que ces émissions avaient doublé les risques de voir se produire des épisodes de pluies extrêmes. Les pluies dévastatrices qui se sont abattues sur l'Australie ces dernières semaines sont sans doute liées à la hausse du thermomètre mondial, elle-même à l'origine d'une intensification du phénomène La Nina, avec également des conséquences dramatiques en Afrique du Sud, au Brésil et au Sri Lanka.

Une de ces études, publiée dans Nature, s'est concentrée sur les inondations survenues en Angleterre et au Pays de Galles durant l'automne 2000 et ses conclusions, fruit du croisement de multiples données et de l'élaboration de milliers de scénarios sur le temps qu'il aurait pu faire à l'époque si l'on exclut volontairement la montée des températures d'origine anthropique. Les résultats sont sans appel : dans neuf cas sur dix, l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES) est allée de pair avec celle du risque d'intempéries. La seconde étude, qui cible une zone plus large et a été publiée en 2009, a révélé que l'augmentation de la concentration de rejets de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère s'est traduite par une hausse des précipitations sur les deux tiers des stations de sport d'hiver de l'hémisphère nord.

Il est intéressant de rapprocher ces deux études d'une autre étude de l'ONU qui montre que l'Humanité doit combiner l'efficience énergétique, les énergies renouvelables, les technologies de capture des émissions de dioxyde de carbone (CO2) et la protection des forêts pour ne pas dépasser le seuil dangereux d'une augmentation moyenne des températures de plus de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels d'ici 2050. Selon cette étude, les énergies renouvelables, efficaces en termes de coût, pourraient produire 21 % de l'ensemble de l'énergie du secteur industriel d'ici 2050, fournissant ainsi 10 % des réductions nécessaires pour éviter un avenir fait de sécheresses, d'inondations, d'augmentation du niveau des mers, de tempêtes plus puissantes, de fonte des glaciers et d'autres effets possibles du changement climatique.

Selon l'ONU, investir 2 % du PIB mondial chaque année, dans dix secteurs clés, suffirait à développer une économie verte alliant croissance et développement durable. Cet effort représenterait 1.300 milliards de dollars, chaque année, entre 2011 et 2050, investis dans des secteurs clés de la croissance verte tels que l'agriculture, l'énergie, les transports, la forêt ou la construction. Si, à court terme, cette économie aurait pour conséquence de constater une croissance inférieure au modèle économique actuel, cette tendance serait inversée dès 2020, assure le PNUE.

Nous devons donc utiliser simultanément et avec beaucoup plus de force qu'actuellement, tous ces leviers pour réduire globalement de 70 % les émissions humaines de gaz à effet de serre d'ici 2050, ce qui est absolument indispensable pour limiter à 2 degrés le réchauffement climatique planétaire, comme le montrent plusieurs études scientifiques rigoureuses récentes. 

Sachant que nous avons émis en 2010 environ 50 gigatonnes de gaz à effet de serre, cela signifie que nous devons descendre à 15 gigatonnes d'ici 40 ans pour empêcher un dérèglement massif du climat. L'effort est encore plus important si l'on raisonne par terrien : la population mondiale devant passer de 7 à 9 milliards de personnes d'ici 2050, chaque terrien doit diviser par plus de quatre ses émissions de GES, passant de 7 tonnes aujourd'hui à 1,7 tonnes en 2050.

Ce défi de civilisation est immense mais il n'est pas hors de notre portée et nous devons comprendre que le coût de l'inaction serait au moins 10 fois supérieur à celui des mesures à prendre pour limiter drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre, comme l'a bien montré le rapport STERN en 2006. L'existence d'un lien avéré entre l'augmentation de nos émissions de gaz à effet de serre et la multiplication des événements météorologiques extrêmes et dévastateurs ne fait que confirmer la nécessité de réorienter et de repenser l'ensemble des activités humaines, de façon à atteindre cet objectif de réduction massive et définitive des émissions humaines de gaz à effet de serre d'ici le milieu de ce siècle.


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Vivat (Fr): Créer une économie verte avec 2% du PIB mondial
5th April 2011
Investir 2% du PIB mondial chaque année suffirait à développer une économie verte alliant croissance et développement durable. C'est ce qu'assure le Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE).
 

Le nouveau rapport a été présenté à l'occasion du conseil d'administration du PNUE, organisé en février dernier à Nairobi. Celui-ci réunissait une centaine de ministres de l'Environnement.

Ce rapport vise à donner les éléments clés d'une économie verte alliant la préservation des ressources naturelles et la réduction des émissions de gaz à effet de serre, à la lutte contre la pauvreté. Il met un terme au "mythe" selon lequel croissance économique et sauvegarde de l'environnement ne peuvent être associées.
Il montre en effet que l'investissement annuel de 1.300 milliards de dollars, entre 2011 et 2050, dans 10 secteurs clés, suffirait à passer à une économie verte.

Ces secteurs seraient l'agriculture, l'énergie, les transports, la foresterie ou la construction. Dans un premier temps, cette économie entraînerait une croissance inférieure au modèle économique actuel mais cette tendance serait inversée dès 2020, assure le PNUE.

Le PNUE appelle à la mise en place "de politiques publiques novatrices et originales" qui encourageront les investissements en faveur d'une économie verte.
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BWN (Argentina): Primera Asamblea General de la Agencia Internacional de la Energía Renovable
5th April 2011
Masdar, la ciudad cero emisiones que está siendo construida en Abu Dhabi, fue el 4 escenario de la primera Asamblea General de la Agencia Internacional de la Energía Renovable, Irena. El keniata Adnan Z. Amin -quien tiene una extensa carrera en Naciones Unidas y ha sido director del Programa para el Medio Ambiente, PNUMA- fue designado director general permanente de la organización. Pedro Marín, ex secretario de Estados de Energía de España, también era candidato.

      Aunque Irena no es una de las organizaciones internacionales "verdes" más conocidas en el mundo, quizas sea la más importante, y acorde, a un futuro optimista para planeta.

      Establecida en Bonn, Alemania, en enero de 2009, su misión es promover la adopción de todas las formas de energía renovable. Tiene 149 miembros, entre ellos la Unión Europea, aunque sólo 69 de ellos han ratificado el estatuto hasta ahora. En la elección del director general han participado 113 países.

      En una entrevista con GulfNews, Amin señaló que, ante el fracaso en las negociaciones internacionales por conseguir un acuerdo jurídicamente vinculante para combatir el cambio climático, una posible forma de abordar la reducción de las emisiones de CO2 y la pobreza es precisamente aumentando el uso de energías renovables. Desde que fue nombrado secretario interino de Irena, Amin ha iniciado dos proyectos: un mapa que identifica las áreas con radiación solar y viento en cada país, y una base de datos de tecnologías de energía renovable.

      GulfNews destaca que Irena es la segunda agencia internacional cuya sede está en un país en desarrollo. La otra es el Programa de Naciones Unidas para el Medio Ambiente, cuya sede está en Nairobi, Kenia. El hecho de que la capital de los Emiratos Árabes Unidos (EAU) haya sido propuesta como sede de una agencia cuyo mandato es promover el uso de energías renovables debe formar parte de una estrategia curiosa pero necesaria. Los EAU tienen una de las reservas de petróleo más grandes del mundo, pero también el consumo de energía per cápita más alto del mundo: 28.131 kilovatios para 2009.
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La Nacion (Paraguay): SEAM y PNUD firman acuerdo de trabajo conjunto
5th April 2011
La Secretaría del Ambiente (SEAM) y el Programa de las Naciones Unidas para el Desarrollo (PNUD) firmarán este martes 5 de abril el Plan de trabajo anual para el año 2011.

El acto será a las 10:30 horas en la sede de la SEAM (Madame Lynch 3.500) y contará con la presencia del ministro Oscar Rivas y el representante residente del PNUD en Paraguay, Lorenzo Jiménez de Luis.

El plan incorpora la continuación de varias actividades que ambas instituciones vienen desarrollando, además de nuevas iniciativas y proyectos que transcienden el año 2011 en diversos ámbitos: fortalecimiento institucional, reducción de los efectos del cambio climático, áreas protegidas, desertificación, servicios ambientales, sustancias que agotan el ozono y pequeños proyectos, etc.

El acuerdo de trabajo incluye un presupuesto previsto de 1.400.000 dólares para este año, que será utilizado para la implementación de las iniciativas mencionadas.

Entre las nuevas iniciativas impulsadas en el plan de trabajo, se destacan las siguientes:

La preparación de una estrategia de desarrollo que sea baja en emisiones que tiene por objetivo reducir los efectos del cambio climático en el país.

El inicio del proyecto PAS CHACO, un proyecto GEF regional (con Argentina y Bolivia), y la participación del PNUMA y del PNUD, cuyo objetivo es revertir las tendencias de degradación de la tierra en el Gran Chaco mediante el apoyo a la gestión sostenible de las tierras en el paisaje productivo.

El Programa Conjunto ONU REDD con la participación de la SEAM, el INFONA y la FAPI, además de la FAO, PNUD y PNUMA, cuyo objetivo es desarrollar las capacidades técnicas e institucionales del país para una futura participación en un mecanismo REDD.

La preparación de una propuesta enmarcada en el GEF que apunta a trabajar el eje de los productos verdes o green commodities. En efecto, en Paraguay los productos principales son la soja y la carne con una fuerte dependencia del ambiente, por lo que el crecimiento de su producción debe darse de tal forma a seguir contando con un valor agregado diferenciador no solo de buena calidad, sino que de producción sustentable.

El plan de trabajo conjunto entre el PNUD y la SEAM se enmarca en la necesidad de una gestión sustentable del ambiente que resulta indispensable para el desarrollo de los países y en especial de Paraguay.

De mantener la tendencia actual de crecimiento económico y de población, sin nuevas tecnologías limpias y sin cambios drásticos sobre cómo se utilizan los recursos, nuestro planeta y toda la humanidad que en él reside, quedarán expuestos a situaciones de vulnerabilidad extrema. De este contexto no está excluido nuestro país, por ellos los esfuerzos conjuntos del Gobierno actual y del PNUD se hacen efectivos en la firma de este acuerdo de trabajo. (Secretaría del Ambiente).
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El Naveghable: "Chile Verde: acciones para un mundo sustentable" te recibe hasta el 10 de abril
5th April 2011
Los autores de iniciativas amigables con el medio ambiente o con el uso eficiente de la energía pueden enviar sus proyectos en ejecución, los que serán revisados y evaluados por un Comité de Expertos en la materia.

POR SOLICITUD DE POSTULANTES SE MANTIENE LA CONVOCATORIA HASTA EL 10 DE ABRIL



  • Postulaciones se abrieron el 19 de noviembre de 2010 y ha sido un éxito, alcanzando los 200 proyectos.

  • Alta convocatoria revela interés en la ciudadanía en ser actores activos en el cambio y aporte del medioambiente

El año 2009, el equipo de Midia, liderado por su Directora Teresa Vial, el Foro Innovación y la Universidad del Pacífico iniciaron en conjunto la difícil tarea de identificar iniciativas sustentables de personas, empresas y organismos públicos a favor del cuidado del medio ambiente y del uso eficiente de la energía a lo largo de todo Chile.

Fue así, como en Junio de 2010, con la ayuda de un Comité de Expertos y el auspicio y patrocinio de instituciones públicas y privadas, se seleccionaron, desde Arica a Punta Arenas, un total de 80 iniciativas que fueron publicadas en el libro bilingüe “Chile Verde”, de distribución gratuita, en el sitio www.porunchileverde.cl, donde también se descarga el libro, y en una Exposición Fotográfica montada en la sala Multicultural de la estación Metro Baquedano de Santiago, que luego intineró en la U. del Pacífico y Parque Aguas de Ramón donde se encuentra actualmente.

Los emprendedores deben ingresar al sitio www.porunchileverde.cl y llenar la Ficha de Postulación. En Mayo de 2011, un Comité de Expertos, integrado por personas destacadas en el área del medio ambiente, con conocimientos técnicos y valóricos, representantes de organizaciones ciudadanas, empresas públicas y privadas, seleccionará las iniciativas que destaquen por proteger el medio ambiente o por promover el uso eficiente de la energía.

“Pueden postular personas individuales, cooperativas, juntas de vecinos, ONGs, universidades, instituciones públicas o privadas, no hay restricciones; lo importante son las características de las iniciativas y que esté vigente en la actualidad”, señala Teresa Vial, directora del proyecto y directora de Midia.

Las áreas de postulación incluyen: eficiencia hídrica, eficiencia energética, trasporte, ecología, conservación de la biodiversidad, energías renovables, arquitectura y diseño, reciclaje, tratamiento de residuos, ecoturismo, gastronomía, recreación, calidad del aire, agricultura urbana, educación, biología marina, entre otras.

Entre las 80 iniciativas seleccionadas el 2010 destacan proyectos muy diferentes en cuanto a su temática como su escala, como por ejemplo:  el Programa de Eficiencia Energética del Gobierno,  el respeto por la biodiversidad que promueven parques como Pumalín y Tantauco, la tienda “verde” de SODIMAC en Copiapó que obtuvo una certificación internacional, Biomorgan y la producción de un “bioplástico” que permite fabricar platos y cucharas biodegradables a partir de elementos como el almidón de maíz, las bicicletas gratuitas de Providencia, el uso de la lombricultura impulsado por la Municipalidad de La Pintana para eliminar desechos de origen vegetal y el edificio bioclimático de ENAP en Magallanes, entre otros.

La primera versión de “Chile Verde: Medio Ambiente y Energía” contó con el apoyo de la Comisión Chilena de Cooperación con UNESCO, Ministerio de Energía, Ministerio de Ambiente y de las empresas: Arauco, SODIMAC, Empresas Eléctricas A.G., Crystal Lagoons, Metrogas, Banco Interamericano de Desarrollo, Avon y Metro S.A. Las empresas privadas acogieron sus aportes a la Ley de Donaciones Universitarias, lo que les permitió rebajar de impuestos el 50% de la donación efectuada al proyecto.

La selección de las ochenta iniciativas lo realizó el Comité de Expertos de Chile Verde 2010, donde destacaron profesionales como: Ximena Abogabir, de Casa de la Paz, Bernardo Reyes de Ética en los Bosques, Ricardo Bosshard de WWF, Pablo Vidal de Acción RSE, Denise Montt de Remade Chile; Maryann Ramírez de Fundación Chile, Nicola  Borregaard de CAMCHAL (Cámara Chileno-Alemana de Comercio e Industria); Félix Maldonado, Fundador a la Red Latinoamericana de Ecodiseño PNUMA-ORPALC; Guillermo Scallan, Fundación Avina; Álvaro Verdejo, Asesor Ambiental ASIVA  (Asociación de Empresas de la V Región); Josefina Heiremans, Directora de comunicaciones de Remade Chile; Marcos Kulka Gerente General / CEO Fundación Chile; Claudio Gómez, Director del Museo Nacional de Historia Natural y el periodista Nicolás Luco.

Hasta ahora, el balance de la experiencia a lo largo del segundo semestre de 2010, ha sido positivo. La Exposición Fotográfica Chile Verde en la Estación Baquedano del Metro, cuya duración inicial era de un mes, fue alargada a dos meses y visitada por miles de estudiantes y público en general. El proyecto fue difundido también a través de Metro TV, afiches en estaciones, en el sitio web Metro Informa y en avisos Led del metro. Además de las entrevistas en televisión a los organizadores, hubo una campaña publicitaria de un mes en Radio Zero y de dos meses en Radio Beethoven.

Una vez desmontada la exposición en el Metro, ésta fue trasladada a la Universidad del Pacífico, donde llegó a un universo de 2.500 estudiantes. Y más tarde fue solicitada por el Parque Aguas de Ramón, del Proyecto Protege, donde la han visto los visitantes del parque.

La primera edición del libro Chile Verde fue distribuida en forma gratuita por los organizadores y auspiciadores a líderes de opinión, colegios y organizaciones públicas y privadas. El libro completo se puede descargar libremente desde cualquier parte del mundo; tan solo hay que ingresar al sitio www.porunchileverde.cl


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CN Digital (Argentina): Estará en Concordia el reconocido cineasta Octavio Getino.
5th April 2011
Se presentará en el marco del Festival Internacional de Cine Social el martes a las 20 en el Teatro Auditorium. Se referirá al cine y su incidencia en los cambios sociales y la cultura.

  Quienes están al frente de la organización del festival, que comenzó el viernes pasado y se extenderá hasta el día10 de abril, invitan a toda la comunidad a estar presentes en la charla de un referente histórico de la actividad audiovisual y cultural, tanto de nuestro país como de Latinoamérica. Para los interesados en la temática social y para el público en general, escuchar las experiencias y dialogar con uno de los fundadores del "Cine para la liberación" y el creador de la película "La hora de los hornos" junto a Pino Solanas es, sin dudas, una oportunidad imperdible.


Por esta razón la Municipalidad invita especialmente a todos los concordienses a ser parte de esta movida cultural que tiene lugar en la ciudad y también a seguir participando de las proyecciones tanto locales como extranjeras, que se han escogido especialmente para el Festival.


 
Octavio Getino. Biografía: nacionalizado argentino, nació en León, España, en 1935. Director de cine y TV. Investigador de medios de comunicación y cultura. Coordinador Regional del Observatorio del Cine y el Audiovisual Latinoamericano de la Fundación del Nuevo Cine Latinoamericano (OCAL-FNCL). Entre 2004 y 2007 coordinó el Observatorio de Industrias Culturales (OIC) de la Ciudad de Buenos Aires y el Observatorio Mercosur Audiovisual (OMA) de los organismos nacionales de cine de la región.Dirigió en 1987 una investigación sobre “Incidencia del video en las cinematografías de siete países latinoamericanos”. En 1992 estuvo a cargo del primer estudio realizado en América Latina sobre “Dimensión económica y políticas públicas de las industrias culturales”. Coautor con Fernando Solanas del largometraje “La hora de los Hornos” (1968) y cofundador de los “Grupos de Cine Liberación” en Argentina, en 1968. Codirector con Solanas y Gerardo Vallejo de los documentales realizados con el Gral. Perón en Madrid “La Revolución Justicialista” y “Actualización Política y Doctrinaria” (1971). Coguionista de “El Camino hacia la muerte del Viejo Reales”. Director del largometraje de ficción “El familiar” (1974). Obtuvo en 1964 el Premio Casa de las Américas, de Cuba y el del Fondo Nacional de las Artes, con “Chulleca”, en el género libro de cuentos.Fue Director del Instituto Nacional de Cine entre 1989 y 1990 y Director del Ente de Calificación Cinematográfica en 1973.Docente en cursos de posgrado en FLACSO, filial Buenos Aires y en la Universidad Nacional Tres de Febrero.Consultor de organismos internacionales (UNESCO, PNUD, FAO y PNUMA) en temas de medio ambiente, comunicación y cultura en varios países de América Latina (Argentina, México, Perú y Costa Rica). Ha publicado numerosos trabajos sobre temas del cine, la cultura y la comunicación latinoamericana y argentina. Entre sus libros más recientes, figuran: “El capital de la cultura: Las industrias culturales en Argentina y en la integración MERCOSUR”; “Cine iberoamericano: los desafíos del nuevo siglo”; “Cine argentino: Entre lo posible y lo deseable”; “Turismo: entre el ocio y el neg-ocio”, “Chulleca”.
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Other Environment News
AFP: Solar power brings night-time soccer to Kenya slum
6th April 2011
It is eight in the evening and amateur teams of youngsters drawn from one of Nairobi's toughest slums are locked in a five-a-side soccer match.

Normally they would have gone home long before dark to avoid the unsafe night-time streets of Mathare. But that was before the stadium became the first in Kenya to get solar-powered floodlighting, an incentive to stay on.

"We have already begun to see the changes. There is a big turn-out of teams who want to use the pitch for training in the evenings," said Stephen Muchoki, manager of the Mathare Football for Hope Centre.

The development is a direct legacy of the first football World Cup in Africa held in South Africa last year: governing body FIFA afterwards chose 20 African groups to house a Football for Hope Centre to promote the sport, as well as health and education.

One was the Mathare Youth Sports Association (MYSA) to which the new solar lighting system was donated by China's Yingli Green Energy Holding Company, quoted on the New York Stock Exchange.

On top of the extra four hours of light a night provided by the new system, football players welcome the chance to practise away from the glare of the powerful equatorial sun.

"During the day, the sun is too direct but at night it is (now) easy to see the ball without straining," said 16-year-old Edwin Ivusa, a Kenya under-17 international who aims to enter the national team in five years.

"Training at night is good for our fitness," added striker Kevin Irungu, a former ball boy. "We run a lot -- always on the ball -- and we don't get tired."

"I didn't think I would ever have a chance to play in a field like this. But the centre has made us believe in ourselves and think we can do even better and that good things will come," he said.

Muchoki expects the newly flood-lit pitch to attract more players, and also to be rented out for events to raise funds for the association.

"We are targeting kids between the ages of eight to 18 and also the retired former players who are too busy in the offices during the day and want to train at night," he said.

MYSA was founded in 1987 and prides itself on having transformed the lives of more than 20,000 Kenyan youths living in the slums through training drills and courses ranging from football coaching to life-saving.

"These drills are very educative because they touch on every aspect of the daily life in the slum areas. They require a lot of concentration and skills from the participants," said games coordinator Robert Chege.

Programmes are based on those of Streetfootballworld, a non-profit Berlin-based organisation which uses the sport to promote development and gender and social equality in disadvantaged areas.

The Mathare association has a strong showing in ranks of street football -- a low-budget version of the game that can be played barefoot in the street without referees -- and dominated the previous two street football World Cup competitions in Germany in 2006 and South Africa in 2010.

Alongside its sport training, it runs programmes on HIV/AIDS education and organises clean-up groups to help prevent the spread of disease in Mathare, which is a collection of mud and corrugated iron shacks without sanitation or infrastructure.

Its pick as one of FIFA's "20 Centres for 2010" was a boost for its years of work. This centre as well as ones in South Africa, Mali and Namibia have progressed well and are already hosting young sportspeople.

The Mathare stadium is the only sports facility in Kenya with a floodlighting system outside the two stadia in Nairobi -- Nyayo National Stadium and the Moi International Sports Centre, Kasarani -- which are powered by the national grid.


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Guardian (UK): Police arrest salvagers for taking 47p in scrap from recycling centre
5th April 2011
Pair of salvagers who took dumped items claim police told them the arrest operation had cost £20,000

A police operation involving eight officers and a helicopter was launched after two "salvagers" were caught taking scrap from a tip.

Owen Gray, 50, and Angela Cubitt, 34, helped themselves to an old video games console and an electric drill that had been dumped at their local recycling centre in Gloucester.

They say they were amazed when the officers, backed by the helicopter, swooped on them as they walked home.

Computer engineer Gray was later fined £20 and Cubitt was released without charge. They claim officers told them the cost of the arrest operation was £20,000 and that the scrap value of the old electrical goods was 47p.

Gray said: "All they will do with the stuff at the tip is crush it and burn the plastic. I pick up whatever catches my eye and try to fix it. When they let us out, a copper told me it had cost £20,000 to get us nicked and that the items only cost 47p scrap."

Gloucestershire police defended its response. Superintendent Gary Thompson said: "We take reports of crimes in progress very seriously.

"I make no apology, least of all to any offenders, for responding seriously to an incident like this and would urge the person responsible to think more about the impact their actions had."

The police could not say how much the operation cost.
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AP: Climbers launch expedition to clear Everest trash
6th April 2011
A team of mountaineers led by a veteran Sherpa guide flew Wednesday to Mount Everest on an expedition to clear away tons of trash left on the world's highest peak.

Since Everest was first conquered in 1953, thousands of people have climbed it, leaving behind the empty oxygen bottles, ropes, tents and other garbage that made their journey possible.

Nepal has since required climbers to bring down everything they take up the mountain or lose their deposit, but debris from past climbs still litters the slopes.

The team that left Katmandu on Wednesday — led by Apa, a Sherpa who has climbed Everest a record 20 times — plans to bring down 11,000 pounds (5,000 kilograms) of garbage during the spring climbing season.

"I want to do this for my country, my people and for Everest," said Apa, who uses only one name.

The team hopes to clear 8,800 pounds (4,000 kilograms) of garbage from the lower part of the mountain and another 2,200 pounds (1,000 kilograms) from near the 29,035-foot (8,850-meter) summit.

Expedition members, porters and guides of other expeditions will carry the garbage down the mountain, receiving 100 rupees ($1.40) for every kilogram they haul out.

Ang Tshering, organizer of the Eco Everest Expedition, said this is the fourth year a cleaning expedition has been held.

Apa first climbed Everest in 1989 and has repeated the feat almost annually. He has campaigned about the degradation he has seen on the Himalayan peaks due to global warming and other issues.

He said when he first began climbing Everest, the trail to the summit was covered with ice and snow. Now, it is dotted with bare rocks. The melting ice has also exposed deep crevasses, making expeditions more dangerous.

Apa grew up in the foothills of Everest and began carrying equipment and supplies for trekkers and mountaineers at age 12. He moved to the United States in 2006 and lives in the Salt Lake City suburb of Draper.
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