Durant 5 ans les freins ont été modifiés 6 fois, la suspension 9 fois ! Le moteur, la boîte à vitesses, le pont, le réservoir ont constamment été l’objet de modifications parfois mineures mais ô combien efficaces.
L’Abarth 131 Rallye que nous vous présentons est une voiture préparée par l’usine à l’époque. Non pas une 131 modifiée par la suite.
Son terrain de jeu historique : les courses de côte en Sardaigne, Sicile et Sud de l’Italie. Toujours gréee « goudron » elle n’a – semble-t-il – jamais vue les chemins caillouteux d’épreuves spéciales sur terre. A son volant Mario FARRIS a disputé beaucoup de compétition et a roulé aussi en circuit au gré des manifestations ouvertes aux voitures de tourisme Gr 4. (Vallelunga, Misano. …)
Le moteur est équipé bien sûr d’un carter sec, du système d’injection homologué en janvier 79, d’un pont « court ». La voiture dispose de 2 jeux de roues équipées de pneus Michelin TB5.
15.000 € justifiés par factures viennent d’être dépensés pour une révision moteur, boîte à vitesses, les trains roulants ont été révisés, les suspensions contrôlées et réglées.
Cette voiture est éligible à tous les grands évènements sportifs Rallye Monte Carlo, Tour de Corse. Elle sera accueillie en vedette incontestée dans tous les rallyes en Europe.
Comment ne pas « craquer » devant une vraie voiture développée par l’usine pour amateurs avertis. Dans son état actuel la voiture peut partir disputer des épreuves de régularité et après une remise à niveau des éléments de sécurité qui ont une durée de validité limitée elle pourra se frotter aux plus rapides des Porsche, Alpine et Alfa Romeo dans les épreuves européennes pour voitures historiques.
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1981 CITROEN Visa 1000 pistes
€ 16 000 / 20 000
A la fin de 1981, la F.I.S.A. avait décidé d’ouvrir ses épreuves à des modèles plus proches des voitures « de tous les jours ». En effet avec les FIAT Abarth 131 ou autre FORD Escort l’imagination mal endiguée des ingénieurs avait abouti à des voitures de course déguisées.
Comme d’habitude ce fut un vœu pieux puisqu’en 1985 arrivait la PEUGEOT 205 Turbo 16 qui était encore pire que ses prédécesseurs !
Entre temps on avait vu se développer des AUDI Quattro, nées en 1981 dont la technologie 4 x 4 reste encore 30 ans plus tard un exemple.
C’est durant cette période que CITROËN décide de développer une VISA, connue pour être une placide berline de nos campagnes, en 4 x 4 destiné aux rallyes.
Baptisée « 1000 Pistes » en souvenir de la victoire lors d’un rallye disputé sur les chemins de terre du camp d’entraînement de Canjuers dans le Var, c’était une voiture uniquement destinée à la compétition, extrapolation des VISA Chrono déjà dotées d’améliorations sportives.
La conception des VISA « 1000 Pistes » est moins sophistiquée que celle des AUDI Quattro. Contrairement à leur rivale allemande les CITROËN ne disposent pas d’un différentiel central répartissant automatiquement le couple entre l’avant et l’arrière en fonction de l’adhérence des roues. L’inconvénient est un ripage des pneumatiques, peu sensible au demeurant.
Ces VISA « 1000 pistes » ont été fabriquées à seulement
200 exemplaires pour obtenir l’homologation en « groupe B »,
20 avaient une évolution encore développée, plus puissante et plus spartiate. Bon nombre ont été condamnées en compétition, la centaine restante a été distribuée à des concessionnaires dont la clientèle était éprise de performances hors du commun.
Moteur de 1.360 cm3, gavé par 2 carburateurs Weber, pont arrière autobloquant, train arrière spécifique par rapport aux VISA « normales », la VISA « 1000 Pistes » avait tout pour faire chavirer le cœur d’amateurs de rallye.
Désormais, elle a tout pour ravir les collectionneurs qui ont à leur disposition une rareté qui s’est couverte de gloire aux mains de pilotes de premier plan tel Jean Claude ANDRUET. C’était DAVID contre GOLIATH dans les rallyes du championnat du monde, de Monte Carlo à la Finlande, en passant par la Grèce et l’Afrique.
La « 1000 pistes » présentée affiche moins de 10.000 km au compteur ; elle ne présente aucun défaut, ne demande qu’à jouer avec son moteur ravi de monter dans les tours. Elle demande de la poigne mais sa maîtrise ne pose pas de difficultés après quelques kilomètres et c’est sur les chemins de terre bien damés qu’elle vous procurera le plus de plaisir.
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c1900 DE DION BOUTON type G
€ 40 000 / 60 000
Numéro de série : 231
Moteur n° 3989
Carburateur De Dion Bouton n° 2541.
Pompe à eau n° 1931
Boîte de vitesses type n°4 n° 1884.
Carrosserie Outhenin Chalandre n° 13
A immatriculer en collection
Brevetée en juin 1899 et présentée au Salon de la même année, la voiturette à pétrole De Dion et Bouton remportera un énorme succès. Elle peut être considérée comme la première voiture française fabriquée en série. Il s’agissait, pour la marque, d’une belle évolution après sa période « vapeur » suivie des tricycles et quadricycles à pétrole. La marque du Comte était mécaniquement innovante, son petit moteur à explosion était révolutionnaire avec un régime élevé, un excellent rendement et un encombrement réduit. Il permit à de nombreuses marques de naitre notamment Delage ou Renault. Avec des usines basées à Puteaux, les établissements De Dion et Bouton deviennent au tout début du XXème siècle le plus important constructeur d’automobiles du monde.
Les voiturettes De Dion Bouton de cette époque possèdent un châssis tubulaire très léger, un système de transmission par pont suspendu type De Dion (breveté en 1896)et une boite de vitesses avec embrayage à main, on met la vitesse et la voiture avance, l’embrayage se faisant en même temps ! Le tout avec une simplicité et une qualité de construction incroyable.
Le premier modèle commercialisé fut le type D avec un moteur de 3,5 CV, le second fut le type E (le premier avec des freins dans les roues arrière). Avec le troisième modèle fut le type G doté d’un moteur plus puissant de 4,5 CV.
Les vis-à-vis De Dion sont des voiturettes vaillantes, fiables et amusantes avec une renommée internationale. Elles jouissent d’un énorme capital sympathie partout dans le monde.
Le modèle présenté est une découverte incroyable. Il existe dans tous les métiers des moments émouvants. En ce qui nous concerne, c’est souvent lorsque nous faisons la découverte d’une belle endormie que le cœur s’emballe. Cela nous rappelle la découverte en 2006 de cette fameuse Porsche 904 GTS en plein cœur de Marseille. Oubliée depuis plus de 30 ans, cette voiture de course était là, stockée et coincée dans l’angle d’une grange, pleine de poussières et de toiles d’araignées. Que d’émotions !
Pour ce Vis-à-vis, l’émotion fut immense lorsque l’on souleva la toile qui recouvrait cette voiturette De Dion depuis tant d’années !
Il fut donné par son premier propriétaire, monsieur J .B Damour demeurant 1 rue de Suresnes à Garches près de Paris, à l’arrière grand père du vendeur habitant et travaillant dans la même rue en 1910/12. L’aïeul interdit à quiconque d’y toucher. Et chose absolument incroyable, chaque génération interdit elle aussi à la suivante d’y toucher. C’est pourquoi il nous parvient aujourd’hui dans un état absolument exceptionnel d’origine « sans jamais avoir été touché ».
La sellerie d’origine et le balatum du plancher sont incroyablement bien conservés. Sous les coussins avant et arrière, la toile qui recouvre le bois est très belle. Le siège avant est démontable, un fois enlevé, c’est pareil, superbe. Les ailes en bois sont avec angles arrondis, ce qui n’est pas dans la norme des vis-à-vis. De plus la base sous le siège arrière présente une forme qui suit les lignes du siège, les autres vis à vis ont une carrosserie différente, le siège est plus large que la base et la forme arrière est inversée. Il est entièrement tôlé en aluminium. En fait, nous sommes en présence d’un modèle spécial. En plusieurs endroits discrets, l’inscription « Chalandre » est marquée au fer.
C’est la signature du garage Outhenin-Chalandre situé 1 rue de Chartres à Neuilly près de la porte Maillot. Dans un catalogue spécialement dédié, cet important garage parisien proposait des tricycles et quadricycles ainsi que voiturettes à pétrole De Dion Bouton à carrosserie Luxe avec sous sans capote. Ses voiturettes étaient carrossées et numérotées par ses soins. Les détails de finitions sont très beaux.
Les boiseries sont en parfait état. Les quelques petits morceaux qui manquent sur les ailes sont présents. Dans le coffre avant on trouve des outils et une boite avec couvercle coulissant. Les pièces indispensables à une bonne marche sont là : une boite à bougie, un jeu complet à l’état neuf de soupapes d’échappement et d’admission, des lames pour le trembleur d’allumage, une pompe à vélo et des rustines Michelin, du graphite, du talc, deux paires de lunettes pour automobile, un entonnoir, un bidon d’essence…
Lorsqu’on lève le siège arrière, la surprise vient de la grandeur du cadre d’accès à la mécanique, c’est plus grand et pratique.
Le moteur porte le numéro 3989 et la boite de vitesse le numéro 1895, c’est un type n°4. Le carburateur numéro 2541 est un Dion Bouton, c’est le modèle pour Vis-à-vis et il ne se rencontre jamais. La plupart du temps, lorsqu’un carburateur De Dion est présent,
il s’agit d’un modèle plus récent. Avec ce dernier, on peut dater cet engin s’agissant d’un des premiers type G de 1900.
Le bouton Marche-Arrêt et la grosse bobine sont des Nilmélior-De Dion, la cheville de contact est présente et le faisceau électrique n’a pas été modifié. Les demi cardans de transmission ont tous leur protection en cuir. Entièrement huilées et protégées, la plupart des pièces nickelées à l’origine le sont toujours.
La peinture d’origine et le décalcomanie De Dion à l’arrière sont superbes. Les pneus ou ce qu’il en reste sont d’époque.
Dans une boite se trouve une exceptionnelle paire de lanternes Ouvrard à anse, en tôle peinte et laiton nickelé, le bon modèle pour les vis-à-vis.
La capote d’origine, en supplément chez Outhenin-Chalandre,
fait parti de l’équipement. La plaque de propriétaire en laiton gravé fait face à la plaque de châssis en bronze coulé De Dion Type G n°231.
Tout cela montre encore mieux le caractère exceptionnel de son état de conservation d’origine.
Les compressions du moteur sont bonnes, le bloc cylindre, fendu par le gel, sera à réparer. Le moteur et la boite de vitesses sont munis de huileurs à réserve. La pompe à eau n°1931 est du type à engrenage. La poussière a pris ses droits sur ce vis-à-vis De Dion Bouton Outhenin-Chalandre « Mylord avec capote » n° 13 et
il appartiendra au prochain et heureux propriétaire de l’enlever.
Suite au décret du septembre 1901 et déclarée comme pouvant atteindre la vitesse de 30 km/h en palier, cette voiturette fut immatriculée en février 1902 sous le numéro 629 Y, dans l’arrondissement de Rouen-Versailles auquel appartenait Garches. Le plus extraordinaire outre son sublimissime état d’origine est que ce vis-à-vis n’a JAMAIS quitté sa rue !
A notre avis, c’est bien le plus extraordinaire Vis-à-vis existant.
Les vis-à-vis De Dion et Bouton sont les premières voitures à pétrole de cette marque mythique. Place de la Concorde à Paris,
un exemplaire est d’ailleurs exposé en permanence dans le hall d’entrée de l’Automobile Club de France, fondé notamment par Albert De Dion.
Cet exceptionnel Vis-à-vis De Dion Bouton est bien sûr éligible au « London-Brighton » organisé chaque année au mois de novembre. Il nous plairait de le voir prendre le départ du prochain !
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1968 DE TOMASO Mangusta
N° de série 8MA834
Carte grise française
Alessandro De Tomaso a conçu l’une des plus belles GT italiennes de route de tous les temps, il s’agit bien sûr de la Mangusta.
Chef d’œuvre du design des années 60, c’est l’une des créations majeures de Giorgietto Giugiaro avec la Maserati Ghibli, qui venait de rentrer chez Ghia après son départ de Bertone où il fut remplacé par Gandini.
Extrêmement basse, large et trapue, la pureté du dessin ne doit rien au hasard mais tout au talent. Aucune surcharge ne vient perturber sa ligne. Le capot arrière est très original, il s’ouvre en deux parties dans le style « papillon ». A l’intérieur, la sobriété a commandé le dessin de la planche de bord.
La caisse de la Mangusta est produite par Ghia et sa mécanique est montée chez De Tomaso à Modène. La motorisation est un Ford V8 implanté en position centrale arrière. Il s’agit du 4 ,7 L, le 289 ci (code HP) qui développe 305 ch et permet à la voiture de filer à près de 240 km/h.
Doté d’un châssis poutre et d’une carrosserie d’une pureté incroyable, la Mangusta est une icône survolant le firmament de l’histoire des GT italiennes.
L’exemplaire proposé est celui du rêve de collectionneur : celui de la découverte. A l’examen, cette Mangusta apparaît comme très complète, rien ne semble manquer. Le beau et rare volant Ferrero est présent, tout comme la roue de secours. L’intérieur est très bien conservé. Le tableau de bord est complet. La tôlerie semble saine et mérite une intervention pour une nouvelle peinture. Le moteur Ford V8 est bien sûr présent tout comme la boite ZF. Cet ensemble mécanique a une réputation reconnue et justifiée par sa fiabilité déconcertante.
Oubliée et en stockage depuis près de vingt ans, cela fait bien longtemps que cette De Tomaso Mangusta n’a pas pris la route par ses propres moyens. La belle au bois dormant attend patiemment son heure pour trouver celui ou celle qui va la mériter. L’extrême rareté du modèle, nous rappelle qu’une Mangusta se mérite.
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1968 LAMBORGHINI Espada
N° de série 7024
Carte grise Française
La Lamborghini SPA, spécialisée dans les tracteurs, s’est mise à fabriquer des voitures de sport en 1964 après avoir présenté un prototype l’année précédente. Embauchant les meilleurs dans une usine toute neuve, Ferrucio Lamborghini s’est donné les moyens de son objectif : la meilleure voiture de sport. Après la 350 GT et la 400 GT, le coup de tonnerre fut la présentation de la Miura en 1966. Du jour au lendemain, la marque est devenue mondialement célèbre sans n’avoir rien dépensé dans la compétition. C’est le trio Lamborghini Automobili, la Carrozzeria Bertone et le génial Gandini qui venait de réaliser un coup de maître.
Au salon de Genève 1967, Bertone présente le prototype « Marzal » à 4 places. Cette extraordinaire « étude de style » ne restera pas sans lendemain et Bertone présente au salon de Genève la Lamborghini Espada, une 4 places au style affirmé. Large, basse, longue cette ligne est particulièrement réussie et racée. Elle ne ressemble à aucune autre voiture.
La découverte de cette voiture fut très émouvante, car si l’Espada rencontra un certain succès, découvrir un exemplaire de la première série est toujours une surprise. Avec son tableau de bord en forme de nids d’abeille, c’est certainement le plus « design » des trois tableaux de bord qui ont existés. Il correspond à la période « hexagonale » de Bertone, on se rappelle la grille arrière de la Miura ou encore le prototype Marzal. La première version a représenté un total de 186 voitures, ce chiffre est à rapprocher de 1216 soit la production totale du modèle. C’est dire la rareté de cette version. Cette Lamborghini Espada est très particulière puisqu’il s’agit de l’une des plus anciennes du monde. Il s’agit de la 9ème coque sortie des ateliers de Bertone et à ce titre, elle présente des particularités que les autres n’ont pas comme on le voit sur un prototype ou une pré série. La plus visible est la présence de la grille sur la vitre verticale à l’arrière.
En 1968, il n’y eu que 37 « Espada » fabriquées, toutes les autres l’ayant été en 1969.
L’intérieur en cuir noir est d’origine et bien conservé. Le moteur est complet et est toujours celui qui fut installé par l’usine de Sant’Agata Bolognese. La carrosserie présente une rare et élégante peinture métallisée de couleur or.
Cette Lamborghini qui nécessite quelques soins, est totalement authentique, complète et saine. Bien stockée et à l’abri depuis des années, cette Espada de l’ère « Ferrucio » est une incomparable opportunité pour un amateur de la marque ou du modèle.
250
1970 ALFA ROMEO 1750 Spider
€ 8 500 / 9 500
N° de série 182008
Carte grise française
C’est l’un des plus talentueux carrossiers italiens qui est l’auteur du cabriolet Alfa Romeo, sorti en mars 1966 et surnommé « Osso di Sepia » ou « Os de Seiche » : Pininfarina. En 1970, le restylage touche surtout l’arrière de la voiture qui perd son arrière fin
et effilé pour une « Coda tronca » qui peut se traduire par
« queue tronquée ».
Dix ans auparavant, une autre Alfa Romeo avait subi le même sort, il s’agissait de la SZ mais cette fois-ci dû à Zagato.
Les mécaniques disponibles étaient les quatre cylindres à double ACT accouplés à une boite à cinq rapports. Elles étaient disponibles en 1,3 L et 1,6 L. Fin 1967 un nouveau moteur 1,8 L est ajoutée à la gamme, c’est la 1750. Pour les amateurs, la 1750 est le meilleur modèle comme pour le coupé Bertone contemporain. Les mécaniques Alfa Romeo sont nobles et ne posent pas de problème à condition de les faire chauffer avant d’en tirer leur quintessence.
L’exemplaire présenté n’a connu que deux propriétaires sur les 25 dernières années. La peinture blanche a été refaite dans la teinte d’origine. L’intérieur d’origine est noir avec la capote écrue. Le tableau de bord est composé des deux gros compteurs compte tours qui font le charme lorsque l’on se positionne à la meilleure place, derrière son volant. En très bon état de fonctionnement, c’est une voiture fiable et performante.
300 Lot de deux médailles :
Pierre-Marie POISSON
Le port et la ville du Havre vers 1928-1930
D. 8,5 cm
René MERY,
Port autonome du Havre, Nicos Vernicos, président des Home-lines
D. 7 cm 120/150 €
301 F. BAZIN
Médaille "Paquebot Pasteur » 1939
D. 7 cm 150/180 €
302 Marcel RENARD, Médaille "Compagnie Générale Transa-tlantique, 1855-1955"
D. 7 cm 90/100 €
303 Lot de deux médailles :
MASSONNET Edit,
Club de la voile de Nice
Médaille en argent
D. 5 cm
HAFFNER, F. FRAISSE,
Conseil Général des Bouches du Rhône
Médaille en bronze
D. 5 cm 50/60 €
304 DANIEL DUPUIS,
Automobile Club de France, Société d'encouragement, 1894-1895.
Médaille en bronze doré portant l'inscription "Croisières de l'Hélice Club de l'Ouest, 1911, Madagascar à Mr.Bureau".
D. 7 cm 90/100 €
305 Adolphe RIVET,
Amphitrite et Neptune.
Fonte de bronze.
D. 13,5 cm 120/150 €
306 Tony SZIRMAI,
Meeting des Canots Automobiles, Monte Carlo.
Médaille en argent offerte par M. Lestonnat, ancien commissaire général du meeting de Monaco à l'Hélice club de Paris, 1928.
D. 6,5 cm 260/280 €
307 Lot de deux médailles:
F. VERNON,
Yacht club de France, médaille en argent portant l'inscription "Noël 1932, M. Marc Elder".
D. 5 cm
G. CONTAUX,
M.Y.C.C.A Grande semaine motonautique de la Côte d'Azur, 1935.
Médaille en métal doré.
D. 5 cm 70/80 €
308 LOT de CINQ INSIGNES émaillés dont un de la Ligue maritime française.
On y joint deux livres:
"Yacht club de France, Société d'encouragement pour la navigation de plaisance. Stauts-Sociétaires-Yachts-Pavillons en couleurs des sociétaires-Renseignements administratifs-Œuvres d'assistance", 1928
"Flags of yachts clubs, sailing clubs and distinguishing flags of yachtsmen"
(annexe du LLoyd's register of yachts de 1952) 80/100 €
309 PLAQUE " GROSSER PREIS VON DEUTSCHLAND. 10 JAHRE MASCHSEE, MOTORBOOTRENNEN, ADAC GAU NIEDERSACHSEN"
émaillée de forme ronde.Gravée au dos Lehmann & Wundenberg Hannover.
D. 9,5 cm
(petit choc) 80/100 €
310 PLAQUE" GROSSER PREIS VON DETSCHLAND 11 MASCHSEERENNEN HANNOVER 24.6.62 " émaillée en forme de losange percé dans deux angles. Gravée au dos Lehmann & Wundenberg Hannover.
10 x 8 cm 80/100 €
311 PLAQUE INTERNATIONALES MASCHSEERENNEN HANNOVER 14 JUNI 1964" émaillée en forme de losange percé dans deux angles. Gravée au dos Lehmann & Wundenberg
Hannover.
10 x 8 cm 80/100 €
312 COUPE F. SANTOS SUAREZ
Distance 8 milles, 1929
Ier marquis de Yvanrey en 12 min 34 sec moyenne 61 k 430 m Outboards Classe X
Plat à bord contourné en argent orné en son centre d'un blason gravé.
Poinçon Minerve. Maître-orfèvre: Boin-Taburet, Paris.
Poids : 830 grammes. 1200/1400 €
En Espagne, Ricardo Soriano, marquis de Yvanrey, prit la décision de financer la construction d'un moteur capable de battre les américains. Ce fut un moteur quatre cylindres baptisé "Soriano" qui fut construit à seulement quelques exemplaires et participa à différentes courses motonautiques.
313 CLUB FUR MOTOR-YACHTSPORT COUPE MARQUIS DE IVANREY
Templiner See 1931Ier R. Soriano de Yvanrey Outboards 1000 cm3
Plat à bord contourné en argent orné en son centre du blason du Grand Duc Dimitri de Russie, cousin germain du Tsar Nicolas II et de la devise "Rompere prius ouam plegare" gravés.
Poinçon Minerve. Maître-orfèvre: Boin-Taburet, Paris.
Poids : 870 grammes. 1200/1400 €
En Espagne, Ricardo Soriano, marquis de Yvanrey, prit la décision de financer la construction d'un moteur capable de battre les américains. Ce fut un moteur quatre cylindres baptisé "Soriano" qui fut construit à seulement quelques exemplaires et participa à différentes courses motonautiques.
314 GERVESE dit, Charles Millot Marie-Joseph,
"Nos marins", série de 79 cartes postales en couleurs signées, titrées et numérotées de 1 à 80. Il manque celle portant le numéro 63.
9 x 14 cm chacune. 250/300 €
Charles Millot dit Gervèse, officier de marine, a vu son activité de dessinateur lancée par les dessins humoristiques sur la Marine vers 1900. L'œuvre qu'il nous laisse témoigne de la première moitié du XXème siècle. Il nous laisse des dessins de portraits, paysages, voyages exotiques et publicité.
17Catalogue Chris-Craft 50/60 €
315 A. VOSRIE
Marin en permission, neuf dessins originaux en couleurs à l'encre de Chine et crayon, l'un signé en bas à gauche et daté 1901.
14 x 9 cm chaque 400/450 €
A. Vosrie actif de 1905 à 1912 environ est un illustrateur français connu pour ses illustrations dans "La Semaine de Suzette" dans laquelle il illustre essentiellement les rubriques de jeux et de bricolages.
316 Catalogue G. de Coninck et cie. 30/40 €
317 Catalogue Chris-Craft 50/60 €
318 "Règlement du Meeting International de Canots Automobiles (IIIème meeting de la Seine) organisé par le Yacht Moteur Club de France", 1927. 30/40 €
319 LOT DE TROIS LIVRES :
"Navigation maritime, fluviale, aérienne", catalogue du musée section DC, Conservatoire national des Arts et Métiers, 1954, Paris
René CHAMPLY, "Les bateaux automobiles à pétrole. Théorie et construction", Paris (à relier)
"How to design and construct a powerboat", 1909, New York,
The Rudder Publishing Company 80/100 €
320 LOT DE LIVRES :
Bill SHAKESPEARE, "Power boat racing", 1968, Cassell &Company Ltd
W. J. WEBB, R. B. CARRICK, "The pictorial history of outboard motors", 1967, Renaissance Editions, Inc., New York, N.Y.
50/80 €
321 CANOTS AUTOMOBILES A MONACO.
Lot de six tirages d'époque de l'Agence de reportage photographique Meurisse, 9 Faubourg Montmartre à Paris, dont une photographie du Sigma IV de marque Despujols appartenant à M. de Soriano et une photographie de la Coupe du Prince de Monaco avec les bateaux Motocratie et Sciata.
12,8 x 18 cm 120/150 €
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