NDONKO SUR DU ROCK
Le complexe agro-industriel et hôtelier Rock Farm de NDONKO, concentré de béton et d’écosystème équatorial, est situé à environ 180km de Yaoundé et à 35km de Sangmelima.
Ndonko, une petite ville dans un village où l’homme d’affaires Christophe Sielenou exploite également 600ha de palmeraie, vit désormais au rythme de l’agriculture et de l’apiculture, qui offrent des emplois directs et indirects à une population majoritairement jeune. A défaut de travailler à Rock Farm ou chez Edouard Akame Mfoumou, promoteur d’une huilerie, d’une savonnerie, les villageois cultivent l’ananas, la papaye, le gingembre ou encore la mandarine, qu’ils revendent à l’agro-industriel Fouman Akame pour son usine de confitures et de coupelles « »entièrement bio ». Grâce à Jean Fouman Akame, les Yékombo de Ndonko disposent d’un centre de santé développé, d’une station-service, d’un bureau de poste et bientôt d’un collège d’enseignement technique industriel (Cetic), entièrement construits par ses soins. La région compte aussi parmi ses élites Martin Belinga Eboutou (ambassadeur du Cameroun auprès des Nations unies) et Gervais Mendo Ze (ancien Dg de la Crtv et ministre délégué à la Communication).
A Ndonko, tous les habitants vous parleront certes de la chance qu’ils ont à avoir deux dignes fils. Ils évoqueront surtout leurs frustrations. Cette contrée de l’arrondissement de Meyomessala est desservie par le bitume de la boucle routière de Sangmélima. Mais elle est en butte à des problèmes de délestage de l’énergie électrique (on peut y passer plusieurs jours sans lumière), de l’absence du signal Crtv, du manque de connexion à la téléphonie mobile (le CTphone de Camtel n’y est opérationnel qu’à de rares endroits), mais aussi à des difficultés de transport f interurbain, les cars venant ou en partance pour Sangmélima ou Meyomessala étant très souvent pleins lorsqu’ils y parviennent.
Ressources humaines
Edouard AKAME MFOUMOU, Ancien Ministre ;
Jean FOUMANE AKAME, Ancien Ministre, Conseiller du Président de la République ;
NDOUKOULA
NGAMBE
Le décollage économique de l’arrondissement de ngambé n’a nullement atteint la vitesse de croisière, malgré les atouts naturels dont il regorge. Unité administrative vieille de prés d’un siècle, son développement passe en premier lieu par le travail de la terre, la mise en oeuvre du plan forestier, le désenclavement et la mobilisation de toutes les forces vives.
Y ALLER
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GARE ROUTI2RE DE POUMA
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DISTANCE : 54km dont 27 bitumés jusqu’à SONGMBEGUE
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HEBERGEMENT : une seule auberge
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PRIX DE LA NUITEE : 7000 et 10 000fcfa.
REPERES
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SUBDIVISION BAMILEKE créée le 18 août 1923
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ARRONDISSEMENT DE NGAMBE avec indépendance en 1960
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POPULATION : environ 20 000 habitants
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SUPERFICIE25 00km2
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PRINNCIPALE GROUPE ETHNIQUE ; Babimbi-Bassa
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NOMBRE DES CHEFFERIS : 52.
C’est le 18 août 1923 que la subdivision Babimbi est créée par arrêté du commissaire de la république française. Dirigée tour a tour par les autorité coloniales ce n’est qu’en 1959 qu’arrive le premier sous préfet camerounais bastion du maquis pendent la lutte de l’indépendance, l’arrondissement a Ngambé sort défilement de la longue convalescence qui devait cicatriser les séquelles de l’histoire et la pauvreté
Située a 54 km de la ville de Pouma (axe lourd Douala-Yaoundé ) , cette unité administrative a un relief escarpé, dominé par une série de cotes raide( Pimbe , Kanyee) et des massif montagneux. On parlera de la colline des maïs ( Nong nsas) ou de Nwami qui serait le vrai nom de Ngambé . Avec la présence des forets en majorité vierges la proximité des cours d’eau qui converge vert la Sanaga, l’engouement pour l’artisanat, la localité compterait parmi les régions les pus touristiques du pays. ces forets qui cachent une faune peu menacée’ faute de chasseurs ,( porc epic, buffles , lièvres ,singe ,antilopes, boa..) ; regorgent d’essence exploitabilités ( sapelli , acajou, ayos , iroko , dossiers ..)
La création d’un parc est d’ailleurs annoncée. Situé dans la parti nord- ouest du département de la Sanaga – maritime, le vieux vaste arrondissement Babimbi –ouest à été morcelé accouchant de Ndom (1993).ici les population parlent bassa . Autre fois le maquis et l’exode rural aujourd’hui ont dépeuplée les campagnes de Nkambé qui regroupe 52 villages repartis en canton. Ndog –makoumt .des jeune à la recherche de meilleurs conditions de vie ou fuyant le travail de la terre ont laissé le territoire a une population vieillissante dont la principale activité reste l’agriculture. le manque d’engagement des uns , les méthodes culturales rudimentaires et l’absence de moyen de communication, expliquent le déficit alimentaire qu’on enregistre sur le marché bihebdomadaire de Ngambé et ceux communaux de Poutkak et Bodbea. Les récoltes ( Macabo, manioc ,taro, plantain, igname) difficilement exposée de meurent autoconsommées .
Le café et le cacao sont en déclin, tandis que les rares palmerais et vergers sont l’œuvre de certaines élites. Néanmoins, souci de voir éclore des industries agro-alimentaires couve dans cette région ou le pain et la viande de bœuf sont des denrées rares. ici, on mange gibier et le poison congelé ,l’ élevage restant artisanal (caprins, ovins ,volaille, en dehors de quelque œuf d’une élite) pour monsieur clément Poléwa, chef du centre zootechnique et contrôle sanitaire vétérinaire , « mal grés la sensibilisation , la population accuse le manque de moyens financiers et le coût élevé des intrant . » . il faut débourser 1785f pour produire un poulet de chair ici , alors que le tout revient à 1300f ailleurs « qui prendrait donc le produit fini à 1900f ? » se demande le vétérinaire. La pêche quand à elle, ne se pratique qu’aux abords des affluents de la Sanaga, et ce, par les étrangers.
Après quelques années de soubresauts qui ont émaillé l’année de la dépendance le calme règne dans la région .on ne dénonce ni braquage, ni agression, malgré la présence d’une prison, seul bagne colonial du département, crée en 1939. Malgré les audiences forfaire qui se tiennent les premiers vendredi du mois et statut sur les litiges fonciers, les détentions de chanvre indien, les cas d vol, d’escroquerie et d’abus de confiance , la quarantaines de détenu est arrivée par transfèrements. « Il y a très peu d’évasions dans ce établissement carcéral ou les droit de l’homme sont respectés » relève le régisseur, David Kamla .
A l’instar d’autre ville état a rapproché les services publics des administrés. La commune créée le 7 juin 1955 nourrit des ambitions malgré la modicité de ses recettes. Elles sont reçues de ne rien recevoir des taxes issues du barrage de SONGLOULOU. La menuiserie municipale est a restaurer. Un accent particulier est mis sur l’hygiéne et la salubrité. La renaissance de l’arrondissement apparaît, timidement. La couverture sanitaire est assez bonne. L’absence total d’électricité dans certains villes de l’arrondissement ou des nombreuses coupures dans d’autre indignent les populations. « Le transformateur est à Boumnyébel » tient-on a rappeler.
Malgré l’existence de l’eau courante, au centre urbain, l’hydraulique villageoise nécessite encore des forages et adductions d’eau potable. La couverture scolaire est marquée par le manque d’enseignants malgré les écoles existantes .on dénombre au total 19 écoles publiques, 2privées catholiques (Ngambé et samba) puis trois maternelles. les déplacements dans les village ( Botbea, Bodibo, Esseing , Hende, Tekibongo etc) se sont surtout a pied il faut débourser par exemple1500f pour se rendre à songmbegué (25km) de là pour voir le pont sur Sanaga et le début du bitume qui mène à Pouma . L’on attend l’axe Songmbengué –Ngambé –Ndom- Ndikinimeki. « Sans promesses fallacieuses, il faut avoir espoir. cette route qui nécessite environs 25 milliard de fcfa et le chef du département qui peu venir à tout moment appelleront les hommes et le développement à Ngambé » précis M.Nyetam Nyetam hans , secrétaire d’état aux travaux public et élite . Pour l’instant, les travaux d’entretien périodique de certaines pistes sont permanents, les cotes de Limbe et de kan ont été bitumées. Ngabé regorge de potentialités économiques : espace cultivables, bois carrières diverses. Le partenariat avec la lorraine est déjà un atout à exploiter. Malheureusement, le regroupement des élites se sont neutralisées dans le comité de développement ; il y a une forte diaspora qu’il faut mettre ensemble. Ngambé mérite qu’on lui emporte quelque chose à travers les actes concrets, et qui accompagne le chef de l’état dans sa politique des grandes ambitions, souligne M Nyetam Nyetam.
En plus de son air campagnard avec des paysages variés et des collines, son lourd passé colonial et ses contractions internes, Ngambé mérite une allure plus moderne.
Le plus grand problème est l’enclavement qui empêche les contacts avec l’extérieur. Le bitumage de l’axe Songmbengué- Ngambé –Ndom- Ndikiniméki est le souhait de toute la région. Partir d’édea pour ngambé ressemble à un voyage à l’autre bout du monde. La route est pourtant bitumée sur prés de 70 kilomètres jusqu'à Songmbegué . Par ailleurs le réseau hydrographique est dense, mais les populations restent confrontées au problème d’eau potable. Nous ne cessons de solliciter des forages et du point d’eau potable pour les villages. Il faut ajouter que Ngambé à un problème réel d’énergie électrique.
Les lignes implantées sur un relief assez difficile ont vieilli. Il faut envisager de les refaire. Le grand vœu de tous est que les populations babimbi aient leurs départements. Ce qui ne serait pas justice. Les unités créées au même moment que Ngambé sont aujourd’hui le chef lieu de département . Comment se présente cette unité administrative sur le plan humain ?
Il faut qu’il y a très peu d’allogènes ici, même faisant les affaires. les autochtones sont égocentriques et sont fiers de leur personne , il aiment qu’on les prenne comme tel. Le babimbi tient à sa propriété foncière et n’est pas prêt à céder une parcelle. Raison de plus pour que les litiges fonciers soient légion, entre voisins et membres d’une même famille. On essaye autant que faire se peut de les régler. Il n’y a pas d’agression. La cohabitation politique des partis politique qui existent, a savoir R D P C et M L D C est pacifique. Le souhait de beaucoup d’élites est de former un grand comité de développement différent de ceux faisaient concurrence sur le terrain .BELL JOSEPH ANTOINE ancien footballeur professionnel. ngambé est le village de papa. « ngambé est la mère qui a accouché Ndom, Massok , et Nyanon. L’arrondissement depuis l’époque coloniale avec Nkongsamba , Mbalmoyo ,Eseka etc . » il mérite aussi d’être un chef lieu de département .on n y trouve tous le service administratifs et le site est très beau . Il y a le problème de l’enclavement et d’électricité .la localité produit de l’énergie et compte les villages qui ne sont pas éclairés ou enregistrent beaucoup de coupures d’électricité.
Ngambé n’a plus d’opposant, mais des mécontents les problèmes posés peuvent être résolus. Les gens ont vu les réalisations du président PAUL- BIYA à Ngambé . Il y a des écoles, la route passe grâce au bitumage des cotes de Nkam et de pimbé, l’hôpital de district est équipé. le ministre de la santé publique a lancé le journées de vaccination ici les projets d’un barrage hydro- électrique à Songbengué et du bitumage de l’axe Songbengué – Nkambé –Edom sont avancés .a cela s’ajoute la promotion des fils de la région » .M. Noungui pierre joseph , du MINSEP.
La ville de Ngambé n’a qu’une auberge ou la nuitée revient à 7 000fcfa. le VIP qui n’a pas de choix se contente de la chambre « haut standing » de 10 000fcfa .a prendre ou à laisser.
C’est une très ancienne administrative. La création de l’arrondissement date de l’époque coloniale au même titre que Nkongsamba , Balmayo ou Eseka devenu par la suite des chefs lieux de département .
Plusieurs anciennes gloires ayant fait le bonheur des lions indomptables sont originaires du « pays Babimbi » bien qu’une équipe locale de football. S’il y a en effet un endroit ou le concept de la mondialisation tarde à s’enraciner c’est dans toute Ngambé . Tous ceux qui sont passés par là ont constaté l’absence des communautés étrangères. . plutôt « fière et égocentrique » les populations locales vivent repliées sur elle-même et n’entendent pas céder un seul pouce de leur terroir , même à un frère du coin . D’où la multiplication des litiges fonciers entre les membres d’une même famille. La réfection des pistes et des ponts sur le tronçon Ngambé –Essing- Bodbea et Ngambé-Nk
Ressources humaines
Bell Joseph Antoine, Ancien jouer international de Football, consutant à RFI.
NGAMBE TIKAR
NGAN-HA
au pays des merveilles
Y aller
A partir de Ngaoundéré : cars de transport publics
Etat de la route : voie bitumée. Mais il existe aussi une route en terre
Longueur du trajet : 80km ou 60 km, selon la voie empruntée
Coût du transport :
Par car, 1500 3000 Fcfa
Structures d’hébergement : Ngan-ha ne dispose d’aucune infrastructure d’accueil.
Repères
Département de la Vina
Arrondissement de Ngan-ha
Actuel Sous-préfet : Djopong Benoît
Superficie de l’arrondissement : 2625 km2
Démographie : 40 000 habitants, selon l’autorité administrativess et municpales
Principales ethnies : Dii, Mboum, Peul et allogènes.
L’arrondissement de Ngan-ha fait partie des unités administratives créées en avril 2007 par le Chef de l’Etat. De par ses ressources naturelles, ses terres fertiles pour l’agriculture, son climat et sa végétation propices à l’élevage, Ngan-ha est le grenier et la mamelle nourricière de la ville de Nagoundéré. Jadis village, anonyme et perdu dans la Vina, cette bourgade a amorcé samétamorphose : des villas et infrastructures publiques sortent de terre comme les champignons. A cela, s’ajoutent ces merveilles de la nature, représentée par plusieurs sites touristiques, dont les chutes de Telo et de Marae et les grottes de Raw, que l’on visite en traversant un paysage féerique et pittoresque. S’appuyant sur ces richesses, Ngan-ha s’affirme peu à peu comme étant une localité de valeur.
A quoi renvoi le titre de « Belaka » dans la communauté Mboum ?
« Belaka » veut dire, en langue Mboum, chef supérieur Mboum. C'est-à-dire: celui qui est au-dessus de toute la communauté. C'est l'appellation qui m'a été attribuée lors de mon intronisation. C'est ainsi qu'on désigne le roi dans notre communauté. Selon la classification de l'administration, je suis chef de troisième degré. Cela fait douze ans que je préside aux des.tinées de la chefferie supérieure des Mboum. Je suis là depuis le 7 septembre 1997.
L’expression de chef supérieur est consacrée est consacrée aux chefs de 1er degré. Mais vous, vous soit laissé au troisième degré et chef supérieur aussi… ce titre n’est-il pas usurpé ?
Cela m'étonne aussi. Je vais vous raconter une anecdote sur mon père qui, à l'époque coloniale, était déjà Belaka, donc chef supérieur des Mboum. Il touchait 42 000 francs par mois, en 1953. Et c'est lui qui a intronisé tous les chefs de troisième des villages environnants de la localité devenue aujourd'hui arrondissement. Et Ngan-ha a toujours été comme chef-lieu de canton. Et c’est mon père qui coiffait tout cela et recevait les impôts à l’époque. C’est toujours lui qui avait donné asile aux différentes communautés qui se sont installées dans les villages périphériques de Ngan-ha. Et aujourd’hui, tous les chefs de ces villages sont de troisième degré. Et le Belaka que je suis est resté au même niveau qu’eux. Et l’on ne donne plus rien au chef. Il n’est pas normal que Ngan-ha soit un canton, et que son chef soit laissé au troisième degré. Mon statut social, donc celui de Belaka, doit être revenu et valorisé.
NGAOUI
NGAOUNDAL
NGAOUNDERE
Ngaoudéré, littéralement la « montagne du nombril » tient son nom d’une colline voisine, située au sud de la ville et surmontée d’une sorte de boule dénudée. C’est la composition des mots Mbouon « Ngouon » et « déré » signifiant respectivement montagne et nombril. La ville, située à 1100m d’altitude, fur fondée vers 1830 par les Foulbé (ou peulhs), à l’emplacement d’un ancien village Mboum. Ngaoundéré (souvent abrégée en Ndéré), ville musulmane, s’organise autour d’un paysage urbain assez curieux, qui lui donne des allures de gros village : en effet, les quartiers traditionnels, organisés autour des grandes familles locales, sont composés d’une multitude de ruelles étroites et de sarés, avec leurs cases rondes aux toits coniques, faits de paille et descendant très près du sol. Autrefois à l’abri derrière des fossés et des murailles, la ville s’est développée autour du palais du Lamido, l’une des grandes attractions locales.
Dans les quartiers administratifs et le quartier du plateau, outre le marché qui se tient le vendredi, de pharaoniques bâtisses ont vu le jour, dont celle de l’homme le plus riche de la ville et de ses parents, preuve que tous n’ont pas souffert de la crise économique des années 1990.
Zone de transit obligée entre les provinces du Nord et du Centre, Ngaoundéré est plus qu’une simple ville-carrefour, c’est où il fait bon de s’arrêter quelques jours avant de poursuivre son voyage vers Garoua et Maroua, au Nord ou ver Yaoundé, au Sud. On y trouve tous les services nécessaires : petits commerces, stations-service, garages, hôtels, restaurants et compagnies de bus. L’achèvement, au milieu des années 1970, de la ligne de chemin de fer du Transcamerounais, dont le terminus est Ngaoundéré, a profondément changé la vie de cette ville, jusque-là isolée et calme. Le commerce et le tourisme ont alors connu un essor important, renforcer par l’inauguration d’un aéroport régional reliant Ngaoundéré à Douala et Yaoundé.
A voir dans la ville : le marché du quartier Baladji, toujours très animé, la grande mosquée, très beau bâtiment à la fois moderne et pittoresque, le palais du Lamido et son petit musée.
Comment y aller/comment en partir ?
S’aventurer jusqu’à Ngaoundéré s’apparente souvent à une expédition, quel que soit le moyen de transport adopté, train, avion ou taxi-brousse.
En avion.
La CAMAIR a la réputation de partir rarement à l’heure. Une réputation qu’elle s’évertue à tenir, quand ses vols, surtout les vols nationaux, ne sont pas surtout simplement annulés. Les avions ressemblent à s’y méprendre à des taxis-brousse des airs. Et les prix pratiqués pour les vols intérieurs sont assez prohibitifs.
CAMAIR
Tel. 22 25 12 95/ 22 25 12 84
L’aéroport se trouve à une dizaine de kilomètres de la vile.
En train.
Si la CAMRAIL a l’habitude de tenir ses horaires de départ, l’heure de d’arrivée demeure très floue. La liaison Yaoundé-Nagoundéré prend minimum 12 heures et coûte 10 000 francs pour un billet en 2e classe. Si un train de marchandise déraille, événement assez fréquent sur la ligne, le train mettra au moins 18 heures à repartir. Patience et endurance sont alors de mise. Discuter avec son voisin sur les moyens de rallier Ngaoundéré sans attendre la reprise du trafic s’avère très utile. De nombreux taxis-brousse profitent de l’occasion pour délester le train de ses passagers les plus pressés. La gare a été construite aux abords de la ville, aucun souci pour trouver un taxi ou une moto, voire pour partir de la ville puisque l’agence Touristique Voyage est à quelques centaines de mètres en aval.
En taxis-brousse
Impossible n’est pas africain et de nombreuses compagnies de taxis-brousse proposent de rallier Ngaoundéré par la route, ou ce qui en tient lieu. Mais le voyage prendre au moins deux jours car les routes qui relient l’Adamaoua au Sud du pays sont dans un état pitoyable.
En arrivant de l’Ouest, la Mayo-Banyo propose un itinéraire Foumban-Banyo-Tibati-Ngaoundéré, soit quelque 600km selon le nombre de piste et peu ou prou 10000 francs selon le nombre d’étapes effectuées. Les repas sont assurés par les multitudes de vendeurs ambulants ou de soya (de délicieuses grillades de zébus) qui prennent d’assaut le véhicule au moment de la traversée d’un village. Quant aux fumeurs, ils pourront s’adonner à leur vice cendre lors des nombreux arrêts prières.
La gare routière de Ndéré se situe au cœur de la ville ou un essaim de moto-taxis et de taxis attendent de faire un dépôt.
A l’opposé, rejoindre les provinces plus au nord est très facile et les routes relativement entretenues. Compter 3500 francs pour rallier Garoua (5 heures), 5 500 francs pour rejoindre Maroua.
La principale agence de bus vers le nord est Touristique Voyages.
Quelques distances kilométriques
Ngaoundéré/Yaoundé : 860km
Ngaoundéré/Garoua : 296km
Ngaoundéré : 510 km
Garoua/Maroua : 214 km
En venant du sud, la rouet qui relie Bertoua à Ngaoundéré est bitumée sur 247 km jusqu’à Garou-Boulaï. Ensuite on emprunte une piste en erre praticable toute l’année sur 270km.
NB : la gare d’arrivée des bus et celle de départ ne sont pas situées au même endroit.
Se déplacer à Ngaoundéré
Le moyen de transport le plus simple dans cette ville où les taxis se font rares reste la mototaxi. Le dépôt ne coûte que quelques centaines de francs. Ne pas hésiter à enfourcher une.
Trajet Foumban-Banyo-Tibati-Ndéré
600km de pistes en piteux état relient Ndéré à l’Ouest du pays. Inutile de dire que le trajet est éprouvant et nécessite aux moins deux jours de route. Rejoindre la bourgade de Banyo à partir de Foumban (200k) ne peut se faire en moins de 6h, sur une piste où seuls se risquent, la plupart du temps , les poids lourds des brasseries du Cameroun ou les camions-citerne de Total. Une fois atteint Banyo, reste 400km de piste. La liaison vers Tibati fait malheureusement naître un trompeur espoir ; la piste est superbe et agréable pour les séants. Ce sera le dernier moment de repos.
De Tibati à Ngaoundéré, le chemin devient un interminable enchaînement de bosses et de trous que les pluies creusent toujours un plus.
L’animation dans le taxi-brousse, au gré des discussions politiques ou religieuses, et les paysages traversés des sauvages collines de l’Ouest aux plateaux de l’Adamouaallègent le fadreau du trajet. Une longue expédition au cœur de l’Afrique, qui permet de lier connaissance avec de nombreuses personnes. Une expérience unique.
A l’extérieur de Nagoundéré
Le Ranch de Ngaoundaba
Bp 23 sur la route de Meiganga.
A 35 kilomètres du centre-ville
Tel. 00 88 216 50 68 34 56 (satellite)
9959 54 06
cantarellamarchand@yahoo.fr
Le ranch est fermé en septembre. 32 chambres avec salles de bains et eau chaude à 12000 francs
(une personne), 15000 francs (couple) 25 000 francs et 30000 francs (boukarou). Bordant un lac de cratère, l’ancien campement de chasseurs est devenu plus qu’un hôtel au décor dyllique. Outre un restaurant aux prix abordables, (entre 6500 et 9500 fracs le menu, 2000 pour un petit déjeuner) l’établissement propose de nombreuses excursions et activités : boules, déparasitage, observation ornithologique (plus de 250 espèces d’oiseaux vivent à proximité du ranch). Des tarifs préférentiels sont établis pour les guides ou les accompagnateurs, et la carte bleue est acceptée.
Le palais du Lamido
Il est situé au centre de la ville. C’est l’un des plus grand de la partie du Cameroun. Récemment rénové, sa clôture de matériaux traditionnels a fait place au béton. A l’intérieur, la case de la reine mère, le domaine privé du Lamido, celui de ses épouses, la case abritant le tribunal coutumier, et le musée du palais, valent bien un détour, ce surtout parce que ces cases traditionnelles pour la plupart, constituent les symboles de l’architecture Mboum.
Directory: publicationpublication -> Acm word Template for sig sitepublication -> Preparation of Papers for ieee transactions on medical imagingpublication -> Adjih, C., Georgiadis, L., Jacquet, P., & Szpankowski, W. (2006). Multicast tree structure and the power lawpublication -> Duarte, G. Pujolle: fits: a flexible Virtual Network Testbed Architecturepublication -> Swiss Federal Institute of Technology (eth) Zurich Computer Engineering and Networks Laboratorypublication -> Quantitative skillspublication -> Multi-core cpu and gpu implementation of Discrete Periodic Radon Transform and Its Inversepublication -> List of Publications Department of Mechanical Engineering ucek, jntu kakinadapublication -> 1. 2 Authority 1 3 Planning Area 1publication -> Sa michelson, 2011: Impact of Sea-Spray on the Atmospheric Surface Layer. Bound. Layer Meteor., 140 ( 3 ), 361-381, doi: 10. 1007/s10546-011-9617-1, issn: Jun-14, ids: 807TW, sep 2011 Bao, jw, cw fairall, sa michelson
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